Transcription Onomastique Appliquée : Différence entre versions

De Ideopedia
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(Règles de la T.O.A.)
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* 3.  La première consonne suivie d'une voyelle deviendra l'initiale de la clé, si le nom propre commence par une voyelle, celle-ci sera ignorée. (Odin> [din]).
 
* 3.  La première consonne suivie d'une voyelle deviendra l'initiale de la clé, si le nom propre commence par une voyelle, celle-ci sera ignorée. (Odin> [din]).
 
* 4.  Les clés sont toujours représentées avec leur « w », et ce, même si celui-ci est absent dans le nom propre d’origine. (Gymir > [geim-wir]).
 
* 4.  Les clés sont toujours représentées avec leur « w », et ce, même si celui-ci est absent dans le nom propre d’origine. (Gymir > [geim-wir]).
 
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* 6.  Lorsqu’une consonne est doublée, et que la seconde est inutilisable dans le découpage morpho-éthymologique on utilise la voyelle « u » et la glide « w » (Agnarr > [wag-nar-ruw]).
 
* 6.  Lorsqu’une consonne est doublée, et que la seconde est inutilisable dans le découpage morpho-éthymologique on utilise la voyelle « u » et la glide « w » (Agnarr > [wag-nar-ruw]).
 
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* 8.  Les Shagas (digramme dont la seconde lettre est un "h") seront toujours présentés sous leurs formes réduites ph>p th>t kh> sh>s,... (Thor > [tor]).
 
* 8.  Les Shagas (digramme dont la seconde lettre est un "h") seront toujours présentés sous leurs formes réduites ph>p th>t kh> sh>s,... (Thor > [tor]).
  

Version du 21 août 2008 à 10:48


Description de la T.O.A.

Les clés utilisées en Elko contiennent toutes trois lettres. Elles sont toutes constituées au moyen de l'une des 6 voyelles et de deux consonnes provenant de la suite de Bela Daga.

Les clés ne sont pas inventées par hasard, l'étymologie elkanne

La transcription onomastique s’effectue au moyen d’un certain nombre de règles regroupées sous l’appellation Transcription Onomastique Appliquée ou T.O.A. .

Règles de la T.O.A.

  • 1. Les signes diacritiques (accents, cédilles, apostrophes, tirets,...) ne sont pas pris en compte.
  • 2. Seules les consonnes de la suite de Bela Daga sont conservées (b, d, g, k, l, m, n, p, r, s, t, w et z)
  • 3. La première consonne suivie d'une voyelle deviendra l'initiale de la clé, si le nom propre commence par une voyelle, celle-ci sera ignorée. (Odin> [din]).
  • 4. Les clés sont toujours représentées avec leur « w », et ce, même si celui-ci est absent dans le nom propre d’origine. (Gymir > [geim-wir]).

[wag]) ou lorsque que la voyelle de tête est suivie de plusieurs consonnes (Agnarr > [wag-nar]).

  • 6. Lorsqu’une consonne est doublée, et que la seconde est inutilisable dans le découpage morpho-éthymologique on utilise la voyelle « u » et la glide « w » (Agnarr > [wag-nar-ruw]).

[ wak#tor ]) soit le découpage a une raison sémantique ou morphologique d’être effectué.

  • 8. Les Shagas (digramme dont la seconde lettre est un "h") seront toujours présentés sous leurs formes réduites ph>p th>t kh> sh>s,... (Thor > [tor]).

[wal°rek]). [règle n°8]. [règle n°8]. Cependant en position centrale il est alors considéré comme deux consonnes distinctes « n » et »g » (Aurvangar > [wur-ban-gar]).

  • 12. Les noms propres sous la forme VVC ou VVCV font leur transcription sous la forme [wVC] comme c’est le cas pour l’exemple suivant : (Aud > [a-wud]).
  • 13. Les voyelles placées aux abords d’un « y » disparaissent lors de la T.O.A., le "y" deviendra "ei" ainsi Baleyg se transcrira [bal-weig].
  • 14. On utilise l’astérisque « * » pour désigner tout élément sémantiquement insignifiant, non pris en compte dans la transcription morpho-éthymologique.
  • 15. La tilde « ~ » est utilisée pour proposé une alternative de forme.
  • 16. Lorsque plusieures voyelles se suivent seule la première est conservée. (Baal > [bal])
  • 17. La lettre « j » se transcrit au moyen de la lettre « w ».
  • 18. La lettre « v » se transcrit au moyen de la lettre « b ».

[ a-kil-lew ]).

  • 20. Le digramme « ou » se transcrit au moyen de la lettre « u ou w».
  • 21. La lettre « q » se transcrit au moyen de la lettre « k ».
  • 22. La T.O.A. accepte les rapprochements paronymiques. Ainsi l’une des trois lettres composant le trigrammes peut être occasionnellement transformée afin de correspondre davantage aux exigences paronymiques de la morphologie elkanne.