Persolangue : Différence entre versions

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À la différence d'une langue auxiliaire, destinée à être parlée par le plus grand nombre; ou bien d'une langue artistique, destinée à servir de vecteur à une œuvre artistique (opéra, film, roman, bande dessinée), la persolangue peut être perçue de deux manières différentes:
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À la différence d'une langue auxiliaire, destinée à être parlée par le plus grand nombre; ou bien d'une langue artistique, destinée à servir de vecteur à une œuvre artistique (opéra, film, roman, bande dessinée), la persolangue peut être perçue de deux manières différentes :
*Soit comme œuvre d'art en tant que telle, indépendamment de toute réalisation dont elle serait la trame, auquel cas elle rejoint les langues artistiques (10<sup>me</sup> art?).
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*Soit comme œuvre d'art en tant que telle, indépendamment de toute réalisation dont elle serait la trame, auquel cas elle rejoint les langues artistiques (10<sup>me</sup> art ?).
*Soit comme instrument plus ou moins accompli de réflexion de son auteur sur la lexicologie, la grammaire, la phonologie de langues déjà existantes, sans pour autant entrer dans le cadre de langues logiques, comme le [[lojban]], mais plutôt celui de [[langue pseudonaturelle|langues pseudonaturelles]] comme l'[[aneuvien]]. Un autre terme existe: celui d'[[idéolangue ludique]].
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*Soit comme instrument plus ou moins accompli de réflexion de son auteur sur la lexicologie, la grammaire, la phonologie de langues déjà existantes, sans pour autant entrer dans le cadre de langues logiques, comme le [[lojban]], mais plutôt celui de [[langue pseudonaturelle|langues pseudonaturelles]] comme l'[[aneuvien]]. Un autre terme existe : celui d'[[idéolangue ludique]].
  
  

Version du 4 juillet 2012 à 23:45

À la différence d'une langue auxiliaire, destinée à être parlée par le plus grand nombre; ou bien d'une langue artistique, destinée à servir de vecteur à une œuvre artistique (opéra, film, roman, bande dessinée), la persolangue peut être perçue de deux manières différentes :

  • Soit comme œuvre d'art en tant que telle, indépendamment de toute réalisation dont elle serait la trame, auquel cas elle rejoint les langues artistiques (10me art ?).
  • Soit comme instrument plus ou moins accompli de réflexion de son auteur sur la lexicologie, la grammaire, la phonologie de langues déjà existantes, sans pour autant entrer dans le cadre de langues logiques, comme le lojban, mais plutôt celui de langues pseudonaturelles comme l'aneuvien. Un autre terme existe : celui d'idéolangue ludique.