Étymologie

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L'étymologie est la partie de la linguistique qui a trait à l'origine des mots et des morceaux de mots

radicaux
Affixes.

Le but de cette page est principalement de traiter de l'étymologie dans les idéolangues et de prendre en considération les différence d'apports entre les langues a postériori, les lazngues mixtes et les langues a priori.

Idéolangues a posteriori

Une bonne partie d'entre elles (mais pas toutes) sont des langues auxiliaires et la volonté de leurs concepteurs est justement la compréhension par la plus large audience possible. Ainsi sont surtout utilisés le plus de mots transparents possible. Certaines langues, plus "orientées" comme les idéolangues romanes prennent leurs étymons directement du latin ou de dérivés de celui-ci (Interlingua, InterRoman, Latino sine flexione, Popiaro, Psolat), d'autres ont une influence slave (Slovio), germanique ou scandinaves. On peut notamment citer le Syldave qui, sous des apparences slaves est en fait une langue dérivée d'un dialecte flamand. On retrouve plus ou moins cette recherche dans les mots de certaines langues mixtes.

Uropi.gif Uropi

La particularité de certains mots uropi est le mélange de racines dans un même mot afin de rendre ce dernier compréhensible par un maximum de locuteurs, ainsi liam (amour) est-il un radical formé de deux éléments d'origines différentes mais ayant une signification identique :

li- = de liebe ou любовь
-am = de amor, amore, amour.

Méthodes de construction de mots

La méthode la plus courante est bien entendu la prise d'un étymon dans une langue ancienne ou contemporaine et d'y adjoindre les affixes nécessaires.

Verda stelo.gif Patra, de PATER PATRIS + le a de l'adjectif = paternel.

Il existe une méthode faisant appel à des noms propres (dieux, personnes, marques commerciales). Cette méthose existe également dans les langues naturelles, ainsi sont nés

bic
boycott
frigidaire
lyncher
mobylette
poubelle
vénérable etc.

Le kelep et l'elko (Ziecken Azuris), deux langues pourtant très différentes (l'une gabaritique et l'autre clavique) utilisent cette méthode pour la quasi totalité de leurs mots. On trouve également cet appel à des personnalités dans des mots aneuviens :

Gaṁbet = ballon (cf Gambetta)
Hùgat = misère (cf Victor Hugo: les Misérables)
Lugóçh = vampire (cf Béla Lugosi).

Idéolangues a priori

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