Ptahx : Différence entre versions

De Ideopedia
(Grammaire)
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Les différences entre le genre III et le genre VI se trouvaient notamment dans des cas comme le datif, l’accusatif ou le locatif. Si certains mots ont été repris par l’aneuvien (sylma, ryln), comme les genres on perdu toute leur importance, ils sont tous devenus neutres et l’ambigüité sexuelle qu’ils pouvaient évoquer a donc été complètement dissoute.
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Les différences entre le genre III et le genre VI se trouvaient notamment dans des cas comme le datif, l’accusatif ou le locatif. Si certains mots ont été repris par l’aneuvien (sylm, ryln), comme les genres on perdu toute leur importance, ils sont tous devenus neutres et l’ambigüité sexuelle qu’ils pouvaient évoquer a donc été complètement dissoute.

Version du 30 juillet 2009 à 18:03

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Le Ptahx
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  Ptahx
Ptahx
 
Année de création Création réelle 2008; diffusion 2008
Auteur Anoev (lakùr)
Régulé par Anoev
Nombre de locuteurs
Parlé en
Idéomonde associé République aneuvienne
Catégorie Langue-mère imaginaire
Typologie
Alphabet non encore élaboré (!)
Lexique quelques mots
Version 4ème révision (avril 2008)
Codes de langue
ISO 639-1
ISO 639-2
ISO 639-3
Préfixe Idéopédia IDEO_PTX


aneuvienSantes.

IDÉES REPRISES

Vocabulaire

Une partie du vocabulaire fut conservée pour élaborer l’aneuvien. L’inversion partielle ou totale des noms pour obtenir certains antonymes est également d’origine ptahx.

Grammaire

Certains aspects de la conjugaison aneuvienne ont leur source dans la langue ptahx ; notamment l’existence de nombreuses particules qui, si elles sont séparées des verbes en aneuvien, étaient accolées en ptahx.

IDÉES ABANDONNÉES

Alphabet, ou plutôt, système d’écriture

[œ] et le [

Quelques "lettres":

Ptahx.gif

Grammaire

Voici les genres avec les terminaisons retranscrites en alphabet latin

  • I : (-on) : Koron (homme), Vuron (père), Syron (roi) Buon (taureau)
  • II : (-o) : Teduro (écuyer), Kolendo (marchand (homme)), goneto (chat mâle), gjono (garçon (adolescent))
  • III : (-e) : Gonete (chat), Bue (bœuf) Silme (bouche)
  • IV : (-ë) : motë (table), Dukë (maison), Rotë (bâton)
  • V : Lub (vie), Los (Dieu)
  • VI : (-e) : Daende (esclave), gjone (garçon (enfant))
  • VII : (-a) : Syra (reine), Goneta (chatte), Leata (ange)
  • VIII : (-æ) : Koræ (femme), Vuræ (mère)


I II III IV V VI VII VIII
I I II III IV V III III III
II I II III IV V III III III
III I II III IV V III III III
III I II III IV V III III III
IV IV IV IV IV V IV IV IV
V V V V V V V V V
VI III III III IV V VI VI VI
VII III III III IV V VII VII VII
VIII III III III III V VIII VIII VIII

Ce tableau n'est donc pas "commutatif"

Koron yt bue jerämeder = l'homme et le bœuf travaillent
Bue yt koron jerämonder = le bœuf et l'homme travaillent.

Quand trois noms de genre différents cohabitent, on applique le trableau aux deux derniers noms, puis on applique, toujours avec le tableau, le résultat au premier pour obtenir le "genre final": Avec VI (gjone) + VII (syra) + I (vuron), on a

VII/I → III
VI/III → III.

On comprendra que les Aneuviens, pour la "nouvelle" langue, n'ont pas voulu s'encombrer de telles complications!


Les différences entre le genre III et le genre VI se trouvaient notamment dans des cas comme le datif, l’accusatif ou le locatif. Si certains mots ont été repris par l’aneuvien (sylm, ryln), comme les genres on perdu toute leur importance, ils sont tous devenus neutres et l’ambigüité sexuelle qu’ils pouvaient évoquer a donc été complètement dissoute.