IDEO ANV Remarques Bo : Différence entre versions
m (→Bois) |
m (→Bulletin) |
||
Ligne 386 : | Ligne 386 : | ||
|_ de santé | |_ de santé | ||
|- | |- | ||
− | | | + | |skĕrflío |
|_ de vote | |_ de vote | ||
|} | |} |
Version du 14 mai 2020 à 23:33
Sommaire
- 1 Bobine
- 2 Bobsleigh
- 3 Bœuf
- 4 Boire
- 5 Bois
- 6 Boissons alcoolisées... on non ?
- 7 Boîte
- 8 Bon
- 9 Bord
- 10 Bordel
- 11 Border
- 12 Botter
- 13 Bouche
- 14 Bouchée
- 15 Boucherie
- 16 Bougie
- 17 Boulette
- 18 Bouleverser
- 19 Bouquiner
- 20 Bourreau
- 21 Bout
- 22 Bouton
- 23 Boxer
- 24 Bracelet
- 25 Braie
- 26 Branchement
- 27 Branler
- 28 Braquage
- 29 Brasserie
- 30 Brève
- 31 Brevet
- 32 Bricoleur
- 33 Briller
- 34 Brocante
- 35 Brochette
- 36 Brouiller
- 37 Brouillon
- 38 Brouter
- 39 Bruit
- 40 Brûler
- 41 Buffet
- 42 Bulletin
- 43 Bûche
- 44 Bûcheron
- 45 Bureau
- 46 Bus
- 47 But
- 48 Buter
- 49 Butoir
- 50 Butor
Bobine
- Spœl est un à-postériori () utilisable aussi bien en électricité qu'en mercerie.
- Trœṁbyn est un autre à-postériori (), synonyme familier de vaaz.
Embobiner
S'en déduisent deux verbes, l'un au sens propre :
- ispœles : mettre du fil en bobine.
L'autre au sens figuré :
- ispuchèk formé avec le radical chek : flouer, tromper, b...er.
- Or nep provest ispuchèkun es kœm ed nechmwyr zhiyrjeve orn! = N'essayez pas de m'embobiner avec vos manières doucereuses.
Bobsleigh
Bilaskavík est formé des éléments suivants :
- bilad = balancer ;
- skavík = traineau, lui-même pris de
- skaċat = patin ;
- vihkùl = véhicule.
Bilaskat concerne la discipline.
Bœuf
Si c'est spécifiquement l'animal opéré qu'on évoque, on dira ckubooved :
- Ar habe ternek-hep bovse: quàt booveże, dektin boovexe ea tinek-ùt ckubooveż = Ils ont 37 bovins : 4 taureaux, 12 vaches et 21 bœufs.
Si c'est plutôt la viande, on utilisera plus simplement boov<ref>"Chez le boucher, toutes les vaches sont bœufs, chez le maroquinier, tous les bœufs sont vaches". Citation à peu près intraduisible en aneuvien, dans la mesure où boov évoque aussi bien la vache du maroquinier que le bœuf du boucher.</ref>
- Ed rextad pœr ùt kóstes booven! = Mon royaume pour une côte de bœuf !
Boire
- Employé transitivement, se traduira toujours par bev ; on fera attention au cas du complément qui suit :
- bev ùt kàhwas = boire un café
- bev kàhwan = boire du café
- bev ùt vasev = boire un verre (c'est le contenant).
- Employé intransitivement, on utilisera l'un ou l'autre de ces deux verbes :
- bev/tryg bœtejev = boire à la bouteille.
- Æt kamel bev nep rec. = Ce chameau ne boit pas assez.
- Tet or tryge ber olvindun, or kjas pagente aṅt trochun. = Si vous buvez pour oublier, veuillez payer avant de consommer.
Bois
La matière extraite de l'arbre se traduit xiyl ou drev. L'ensemble d'arbres, assimilable à une forêt (sylev) se traduit tæntul. Le "petit bois" (de chauffage) se dira drevin.
Boissons alcoolisées... on non ?
Pour la traduction en aneuvien, la différence est essentielle ! de même que pour le verbe "boire" (intransitivement). Une boisson alcoolisée se dit trygant (y compris les vins, bières<ref>Une bière sans alcool se dira malgré tout "trygant". Il y a quand même de l'alcool... en quantité minime, soit...</ref> & cidres). "Alkoolendan trygant" est un pléonasme, tandis que "alkoolendan bevant" est un non-sens.
Tryk est plutôt le synonyme de sprytwádr.
Boîte
- Boîte de nuit = geṅchoos
- Boîte de vitesses = ratiosent
- Boîte noire = notbòk.
On tâchera de ne pas confondre avec un bac : bók.
Bon
L'adjectif se dit lood, le nom se dit lódnot.
- Eg hab tiyn lódnoce mintrĕfynen pœr ær prodœnkteve. = J'ai deux bons de réduction pour ces produits.
Toutefois : Eg hab ep looż? = j'ai bon ?.
Bord
Lidùl, de
- lit = limite
- dùlt = ligne
représente tout ce qui constitue, au propre ou au figuré, une limite :
- Ere faarar àt lidùls àr maaren = nous sommes allés au bord de la mer.
- Àr ere àt lidùlev àr làkrymeve = ils étaient au bord des larmes.
Bord ne se dit que pour un véhicule.
- Ar erer tœsaṅd-ternèrent bordev tev à xhip liymă àt bànkes = Ils étaient 1300 à bord quand le navire quitta le quai.
Bordel
Représentées en français par un seul nom, ces deux réalités sont chacune représentées par un nom aneuvien bien différent.
- Dysòrda ~ désordre
- Praskoos = maison de prostitution.
L'interjection a plusieurs traductions dont le sens est souvent assez éloigné des deux sens originaux : kartàj! reċhæk! etc.
Border
- Lidùlen correspond au bord (d'un pays, d'une mer, d'une falaise etc).
- Àt Alzàs cem lidùlen per àt Rhiynev àt æstev = l'Alsace est bordée par le Rhin à l'est.
- suvrètes ùt kàms, ùt kolventes, suvrètes ni okèndus = Border un lit, une couverture, border quelqu'un.
- sercíles ùt recils = border un filet
- zhorbe ù vlims = border une voile.
Botter
Abœt, c'est chausser :
- Àt abœtan gat = Le chat botté (Ch. Perrault)
Obbœt,
- employé transitivement : Da cem dora obbœt àt degs. = Y s'est fait botter le c...
- ou intransitivement : Da obbœta ùsars. = Il a botté en touche.
C'est "frapper avec le pied".
Tuplàċ, c'est botter, dans le sens de "plaire beaucoup".
- Ùt abnet kœm ors? Terád tep æt kjas tuplàċ ni es! aṅk àt nox! = Une soirée avec vous ? sûr que ça m'botterait ! même la nuit !
Bouche
Se dit (pour l'être humain et beaucoup d'animaux, à l'exclusion des carnivores exclusifs) sylm, notamment si on parle de la bouche dans son entier, incluant donc toute la mâchoire, la langue, le palais, le larynx...
Si on ne veut parler que de la partie visible (les lèvres surtout) on peut éventuellement dire sylma. Toute autre bouche (égout, aération...) se dit opnys.
Bouchée
Qu'il s'agisse de la friandise ou bien de l'utilisation dans les expressions "n'en faire qu'une bouchée, mettre les bouchées doubles...", on utilisera le mot silmák, mot-valise formé à partir de sylm (cf ci-dessus) et de lakis (plein) : le L sert deux fois. On pourrait même faire un rapprochement avec smlàk = embrasser à pleine bouche :
- Æt tol Ubæren, æt juldærkad Myrjam mir habéa nor ùt silmáx cyn! = Ce pauvre Hubert, cette couguar de Myriam n'en aura fait qu'une bouchée !
Boucherie
- Bofteskop, c'est la boutique où on détaille et où on vend la viande ;
- hematri, c'est un carnage.
L'artisan et vendeur de ladite viande et l'auteur dudit carnage sont respectivement boftedu & hemàtordu.
Bougie
- Kaṅdlin pour s'éclairer, à défaut d'une lampe électrique ;
- lehína à l'usage d'un véhicule à moteur thermique :
- àt lehína aṅwármad, pœr àr diesel motorse = la bougie de préchauffage, pour les moteurs diésel.
Boulette
Bœlin, c'est la petite boule, quelle qu'en soit la composition.
- Ùr bœline kàrnan kœm res = des boulettes de viande au riz.
- Quadù zlàna ùt bœlins? = Qui a lancé une boulette ?
Lop, c'est la bévue, traduit aussi loup dans ce sens.
Bouleverser
Klastòrdil formé de
- klàste = détruire
- ordil = ranger
conjugué comme ordil et dysòrdil : -na, -nía, ce mot est utilisé aussi bien au sens propre qu'au sens figuré :
- Or nep mir klastòrdilnite à tempaux àt afýplenten = Ne bouleversez pas l'emploi du temps de la réunion.
- Æt nekrùtyn klastòrdilna ase = Ce deuil les a bouleversés.
Bouquiner
- Bœke : activité culturelle qui peut tout-à-fait avoir lieu dans une bibliothèque.
- gokáper : activité physiologique, propre à certains animaux, qu'il serait étrange de voir pratiquer dans une bibliothèque !
Bourreau
Traduit en aneuvien par trois termes dont les contenus sémantiques sont assez différents :
- Matperdu : celui (dù) dont le métier (perov) est de tuer (mat).
- Sochrídu : celui (dù) qui tord (Chrjes) les corps (som). Synonyme possible : tràvydu = tortionnaire.
- Karechrídu = bourreau des cœurs.
Bout
Kun, c'est la fin, au sens propre, comme au sens figuré :
- Eg vedj àt kuns àt vegtùpen. = je vois le bout du tunnel.
Băt, c'est un morceau :
- Gevent æt băc brœṅden nis es, kjas plàcit os. = Donne-moi, ce bout d'pain, s'il te plaît.
Bouton
- Miklós, en nacre, métal ou plastique, il sert à fermer un vêtement.
- tuk, c'est l'extrémité d'une branche annonçant la poussée d'une feuille, ou d'une fleur.
- Par extens. (argot) : clitoris.
- pỳch < pĕchyt (cf pustule)
- dixát, qu'on tire (avec deux doigts) ou qu'on appuie (avec un seul).
- puto : autres définitions (insigne, fleuret, par exemple) ou bien terme général, synonyme des précédents.
Boxer
- Poxhœnd, c'est le chien
- pùgl, c'est le verbe.
Bracelet
Les mots "bracelet" et "menottes" se traduisent un aneuvien par 2*2 version du même mot :
bracelet | paire de menottes | bracelets | paires de menottes | |
N | pœngring | pœngringge | pœngringe | pœngringger |
A | pœngringes | pœngringges | pœngringese | pœngringgese |
G | pœngringen | pœngringgen | pœngringene | pœngringgene |
C | pœngringev | pœngringgev | pœngringeve | pœngringgeve |
Braie
Les définitions numérotées sont là
1 | legverat |
2 & 3 | pràj |
8 | muvál |
10 | pislat |
Branchement
Chĕdat, c'est l'action de brancher, chĕsat, c'est le dispositif une fois obtenu.
On remarquera les deux traductions de "faire un branchement" :
- Dorun ùt chedaċ
- Fàktun ùt chesaċ.
Branler
- Zùqe est utilisé comme verbe intransitif :
- Æt sedjo zùqe: tet eg dem sedj en, a dem kjas kòlapes. = Cette chaise branle : si je m'asseyais dessus, elle s'écroulerait.
- Zùges est plutôt utilisé comme verbe transitif :
- Da zùgsă àt Pœnxac omne tàvegeve do nepùt lorèdă. = Il branla la poignée dans tous les sens, mais rien ne se passa.
- Da bytàlen nep àr kàbinse àr goskòpene: à erlàj alqinun ùr vidéose ea dem zùgsun qiydas dav ad. = Il ne fréquente pas les cabines des sex-shops : il préfère louer des vidéos et se branler tranquillement chez lui.
- Nexhát a une connotation complètement différente et l'acception diffère selon qu'il est actif ou pronominal ; le terme est aussi vulgaire en aneuvien qu'en français.
- Quas ep o nexhátun? = Qu'est-c'tu branles ?<ref>De par le fait, le dialogue :
- — Qu'est-c'tu branles ?
- — Moi.
n'est pas traduisible en aneuvien.</ref>
- Ed kervœntese, eg dem nexhàt cyn! = Tes problèmes, j'm'en branle !
Braquage
- Bràgat est du ressort de la mécanique ;
- hràkat est du ressort du crime.
Brasserie
Dans une brasserie (elfàktur, ċervàktur) on y brasse de la bière ; dans l'autre (elklèm), on la boit... et on y mange.
Brève
- Văl est une compression de vòkal, pour une voyelle... brève.
- kùvin, qui traduit aussi "cuvette" désigne le signe diacritique
- gazĕvinest pris de gazĕvek avec le diminutif -in à la fin.
Brevet
Ces deux mots sont synonymes, toutefois, le second ne s'applique qu'aux inventions alors que le premier peut également s'appliquer aux diplômes scolaires et univerrsitaires, d'ailleurs...
Akóget = reconnaissance
fljo = feuille.
Brovet est un à-postériori sur lequel est construit la traduction de "breveter" : brovetes.
Bricoleur
- Le terme principal, geqydu, est formé de
- Les deux mots suivants expriment davantage le manque de professionalisme dans la description d'une réalisation ;
- vorepdu utilise comme radical, l'anacyclique de perov (métier) ;
- nechèkqdu est, lui, carrément péjoratif.
Bricolage
On retrouve des nuances similaires dans geqjad & nechèqjad.
- Da dor geqjaż omen sœndaw in sed starkœbev = Il fait du bricolage tous les dimanches dans son garage.
- Or chœlen ep æċ afíktyns? Eg ep æċ nechèqjaż! = Vous appelez ça une réparation ? J'appelle ça du bricolage !
Briller
Bril au sens propre, gybrí au figuré. Les adjectifs verbaux en découlent.
Brocante
& brocanteur
Formation de ces mots :
- liym = laisser
- merkad = marché. Bref, limerkad est un marché d'objets qui sont laissés par leur propriétaire à un autre acquéreur. Le M sert deux fois.
Formation analogue avec, cette fois-ci, une juxtaposition (ce n'est pas un mot-valise) entre
- liym : cf. ci-dessus
- thogdu = vendeur.
En somme quelqu'un qui revend des objets qui ont été laissés par leurs propriétaires (vente ou don).
Brochette
Spisting, de
- spiys = manger
- ting = tige<ref>au sens propre. Sinon, on dira :
- Da inga ù spisdul nexoven = il mangea une brochette d'agneau (il n'a tout de même pas mangé la tige !)</ref>.
Dùltul, de
- dùlt = ligne
- tœl = ensemble.
Brouiller
Chàme de jam () se dit aussi bien pour un signal (radio) que pour des œufs.
- chàmane óve<ref>On ne confondra pas.</ref>= œufs brouillés
Dyskjease évoque la mésentente
- Ar aṁb dyskjaser devèr tern monedeve = Ils sont brouillés depuis trois mois.
Brouillon
- Chàmon, c'est l'adjectif.
- Kar • chàmone = Elles son brouillonnes.
- Supóch & tyrchat sont synonymes.
- Dorit ù tyrchac aṅt = Fais un brouillon avant.
Brouter
Àt boovek parínzh ea't agervik tomút. = La vache et le tracteur broutent.
Bruit
- Hrupid, mot agglutiné, à la mode uropi, à partir des éléments
ces élément étant la traduction de (toute sorte de) "bruit" dans ces langues respectives. C'est également un mot-valise : -ru- en est la charnière.
- Chrfĕch est un à-priori motivé pouvant être utilisé dans son acception technique : du bruit dans un signal visuel (image) ou auditif (radio), par exemple.
Brûler
Ignes (actif) ; igen (ergatif).
- Ar ere ignesun ùr vone papiyrse = Ils brûlaient de vieux papiers.
- Æt xiyl igen laakas = Ce bois brûle difficilement.
Bùrnes ( to burn) est utilisé quand ce n'est pas du feu qui brûle (acide, douleur, blessure, froid). On prendra garde au faux-ami.
- La bùrnesar àt restes àt somen àt likàlekev = On a brûlé le reste du corps à la chaux vive.
- Æt stængys bùrne es hahraxhaψhas! = Cette blessure me brûle horriblement !
Buffet
- Jàleskig, c'est le meuble, plus particulièrement assez bas (hauteur de taille), où on y pose des parts que les convives saisissent eux-mêmes :
- Àr àspyse ea'r ùspyse • àt jàleskigev = les hors d'œuvre et les desserts sont au buffet.
- Jàlespis, c'est le repas.
- Àr spiysate erer ùr jàlespise; ċenev la cem ere særve. = Les déjeuners étaient des buffets ; au dîner, on était servis.
- Jàlesklem, c'est là où on le sert (Parasynonyme : dem-klem)
- Tet o vel spiys loot, pùze à stàtyns; àt jàlesklem • fàman! = Si tu veux bien manger, va à la gare ; le buffet est renommé !
Bulletin
Se dit en général Tyflío (flio = feuille de papier)
pagflío | _ de paye |
skolflío | _ scolaire |
salunflío | _ de santé |
skĕrflío | _ de vote |
Bûche
Formation du mot xiyrys :
- xiyl = bois
- ziyrys = tranche.
Cette tranche étant, en fait, plutôt épaisse. Mais le mot peut indiquer, implicitement, un certain volume.Pour la bûche de Noël (inconnue en Aneuf), on dira plutôt lunkaag.
Bûcheron
On notera bien que :
- le U de xiyrydu ne se prononce pas comme celui de xiyrytul.
- xiyrykad n'est pas l'épouse du xiyrydak mais une femme dont le métier est de couper du bois.
Bureau
Entre les deux extrêmes :
- Bùro signifie le sous-main disposé sur la table de travail
- Bùrmes signifie la table sur laquelle est placé ledit sous-main.
- Bùrsal signifie la pièce dans laquelle se trouve cette table.
- Et pour désigner un groupe de responsables d'une collectivité (entreprise, commune, association...) on dit... bùro.
- Quant à "employé de burau"<ref>Ou bien "bureaulier" (Le Père-Noël)</ref>, il se traduit par bùrodu<ref>Mais "un membre du bureau" se traduira : ùt inesdu àt bùron.</ref>.
Bureaucrate se dira... burokrádu [byʁoˈkʁɐdy].
Le terme koṅtœr (À-post, bokmål kontor) est utilisé dans des mots comme
- postkoṅtœr [ˌpɔçkɔ̃nˈtuːʁ] = bureau de poste
- lamykoṅtœr [ˌlɐmikɔ̃nˈtuːʁ] = bureau de tourisme
- zhimkoṅtœr [ˌʒimkɔ̃nˈtuːʁ] = bureau des pleurs.
Bus
La forme contractée d'"autobus" (demnibus, pris de dem & omnibus : le M est la charnière) est l'ultra-à-postériori bus. Un trolleybus se dira pærsbus (de pærsh + bus).
But
Au sens propre, se traduit par l'apostériori gool, sinon, on utilisera berat<ref>On fera attention à la séparation des syllabes pour ce mot : ber•at</ref>.
Buter
- Eskemt se rapproche de "trébucher".
- Esrat se rapporte au substantif esrasat (butoir)
- Dem oporles se rapproche de "s'obstiner".
- Ogmat, c'est tuer.
Butoir
Une date-butoir se dira esradàt.
Butor
L'oiseau se dira bùtorav, l'individu mal dégrossi se dira bùtordu.
BE | C |
Bl | Br |
<references/>