Discussion utilisateur:Ajai : Différence entre versions
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Version du 3 juin 2013 à 08:01
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Début
Bienvenue Ajai
J'ai vu ton arrivée en consultant les dernières modifs d'Idéopédia. En attendant la réponse de Wikimistusik, je peux toujours te dire que tu peux créer une page en en copiant-collant une qui existe déjà et faire les modifs (le nom, surtout !) que tu veux. Cependant, il faut que tu trouves un préfixe (identifiant à trois lettre précédant le nom de tes pages lexicales et grammaticales, sauf la page d'accueil de ta langue. Par exemple, supposant que tu aies inventé le Sarolien (un nom au pif, c'est pas forcément l'bon), eh bien ta "page d'entrée serait nommée "Sarolien" et tes articles seraient donc, par exemple IDEO_SRL_adjectif_déterminatif. Bon, là, c'est pour débuter ; Wikimistusik te donnera d'autres info plus précises. Sinon, quelques pages utiles concernant la mise en page ou l'édition de tes futurs articles.
Bon courage.
--Anoev 22 mai 2013 à 09:59 (UTC)
Bonjour et Bienvenu Ajai,
Tu peux commencer par te décrire toi et tes créations (linguistiques ou diégétiques) sur ta page utilisateur. Anoev et moi-même t'aiderons pour la mise en forme et pour te donner des petits conseils pour te lancer. Nous venons tous deux tous les jours pour regarder les modifications récentes. Comme tu l'a dit, Idéopédia n'est pas aussi exigeant que Wikipédia dans le sens où le site de traite pas que des idéolangues et des idéomondes publiés ou bénéficiant d'une grande couverture médiatique mais s'intéresse davantage aux créations personnelles. Néanmoins, il est important de présenter des projets étant le fruit d'une certaine réflexion plutôt que des multitudes d'ébauches. N'hésites pas à nous solliciter, nous nous ferons un plaisir de t'aider. --Ziecken 23 mai 2013 à 12:02 (UTC)
Slt Aj
Je me suis également intéressé aux abrégés, certes pas aussi profondément que toi, mais je m'en suis servi pour raccourcir certains affixes. Ainsi, en aneuvien, idem veut dire "même", comme en latin. mais il a longtemps servi pour traduire le préfixe (d'origine grecque) homo-. Ainsi, j'ai eu idemkàr pour "homogène", jusqu'à ce que je me rende compte que dans certains cas, l'affixe "écrasait" le radical. Ainsi, idem- est devenu im- (imkàr). Par ailleurs, ça m'est arrivé de faire le processus inverse : rallonger un mot. Quel intérêt ? Afin de faire des nuances. Ainsi, pour l'œil, j'ai oj (c'est la même chose en uropi), mais oj, c'est le globe oculaire. Si on veut désigner l'œil et son entourage (cils, paupières, sourcils...), on rajoute (ben tiens !) quelque chose et ça donne obaaj (blàj signifie "fenêtre" et l'œil est la fenêtre de l'être vivant, du reste, un œil-de-bœuf se dit oblàj : fenêtre en œil). Je suis tes travaux linguistiques ; si ça t'intéresse, on peut avoir l'occasion d'causer d'tout ça...
--Anoev 27 mai 2013 à 11:09 (UTC)
Ste
... ou st, c'est sln. En fait, si on réfléchit bien, l'abréviation consonantique rapproche l'alphabet latin des abjads et on trouve, par ailleurs, des compressions de style FNC qui sont aussi bien francophones (fonction) qu'anglophones (function), hispanophones (función), magyarophones et espérantophones (funkcio<ref>Au diacritique près pour le hongrois : funkció.</ref>), roumanophone ou néerlandophones (functie<ref>Au diacritique près pour le roumain : funcṭie.</ref>). Cependant, ce n'est pas universel : Aufgabe, toiminto. Mais bon, c'est déjà beau qu'on puisse en trouver plusieurs d'horizons divers. Certes, on aurait du mal à écrire toute une saga en abrégés (bnjr ls mgrn !), mais les compressions servent énormément : du bd de Courtais (03100, Montluçon) à l'ave de St-Ouen (75018 Paris). Bn cntntn.
--Anoev 28 mai 2013 à 12:16 (UTC)
& ncr
Effectivement. Le contexte compte beaucoup<ref>Cause des migraines, en fait, dues à l'effort de lecture doublé ! En fait, on complique en voulant simplifier !</ref>, et aussi la syntaxe de la phrase. Et puis y a des mots qui sont inabrégeables : "eau", par exemple. Et y en a d'autres qui posent de sérieux problèmes : mer/maire/mère", ne sauraient pas trop tous se condenser en mr. Et puis il y a une méthode plus radicale encore que l'abrégé, mais elle ne marche pas partout, c'est la symbolique : on a déjà @ pour "à" et .../... pour TSVP (tournez (la page) s'il vous plaît).
@ bnt
--Anoev 29 mai 2013 à 10:17 (UTC)
Mot à mot
Ça m'arrive de le faire quand la syntaxe aneuvienne est VRAIMENT différente de la nôtre (en français), ou bien pour transcrire des gallicismes en aneuvien ou bien des aneuvisme en français. Sinon, la syntaxe courante de l'aneuvien est de type SVO (itou celle du français), elle est même encore plus SVO que la française, puisqu'elle y inclut les pronoms personnels COD ou COI :
- eg vedj ase = je les vois (je vois eux)
- eg lokùt ni ase = je leur parle (je parle à eux).
Comme tu peux voir, l'aneuvien est, du moins en ce sens, plus simple que le français : la syntaxe est la même, quelle que soit la nature du complément (nom ou pronom). Par ailleurs, certains pronoms COI en français ont une forme différente, selon le verbe utilisé !
- parle lui
- pense à elle.
Ce n'est pas le cas en aneuvien où chaque fonction aura une flexion et une syntaxe appropriée :
- lokùtet ni kas
- dœmet ni kas.
Certes, des aspects peuvent paraître étonnants. Aussi n'hésite pas à me demander des compléments d'info : ce sera pour moi l'occase de peaufiner mes articles. J'ai pas mal trituré les verbes, ces derniers temps.
--Anoev 1 juin 2013 à 09:21 (UTC)
Parler
J'ai toujours eu, en français, un problème avec certains verbes dits "transitifs indirects", raison pour laquelle j'ai un peu changé ça en aneuvien. En français, "plaire" est un transitif indirect, plàc se construit directement (pas de risque d'ambigüité : on ne "plait pas quelqu'un" en français), par contre, en aneuvien :
- Ka plàc daxe = Elle plait aux hommes.
Pour "parler", je me suis toujours demandé (en français) si dans "parler une langue", "une langue" était VRAIMENT un COD. Eh bien, j'ai décidé qu'en aneuvien, c'était le cas !
- Ep or lokùt uròpis? = Parlez-vous uropi ?
Par contre, pour "parler de ..." (quelque chose, quelqu'un), j'ai opté pour un COI au génitif sans adposition, ce qui rapproche ce verbe de "penser à", sauf que pour "penser", il y a une adposition (ni). Pour "parler de", le verbe est différent (penser à "disserter").
- Ar dyserte àt flàten = Ils parlent de l'appartement
- Ar dœme nit ganòzhaten = Ils pensent au loyer.
--Anoev 2 juin 2013 à 10:17 (UTC)
Parler (suite)
Su parele moy jelekosa yoroso
Je suppose que, mot-à-mot, ça donne "lui parle à moi quelque chose heureux ?"
- moy signifiant "à moi" (datif) ou bien simplement le pronom personnel tonique "moi" ?
- yelekosa est-il un cas particulier de yelekos (destiné, par exemple, aux compléments d'objets indirects exprimant une idée de propos : je parle (au sujet) de ça)) ou bien simplement le mot yelekosa non décliné ? Je te demande ça, parce que dans deux langues que je connais (plus ou moins, faut pas exagérer), le volapük et l'elko, le génitif, utilisé dans ces cas là (en aneuvien aussi, mais la flexion est en -en) a une terminaison identique.
C'est pas trop éloigné de la tournure aneuvienne, qui dit :
- Da dyset ni es hàrlon okènuten. Même sans connaître les mots à l'avance, tu auras pu te rendre compte de la signification de chacun, sauf peut-être les deux derniers (en aneuvien, dans ce cas, le "de" n'est pas traduit et l'A.Q. est devant le nom).
--Anoev 3 juin 2013 à 07:01 (UTC)
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