IDEO ANV Remarques Pa : Différence entre versions

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Enveloppé, se dit ''pàk'', simplement ficelé, peut s'écrire ''pàk'' ou ''pàq''.   
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Enveloppé, se dit ''pàk'', simplement ficelé, peut s'écrire ''pàk'' ou ''pàq''<ref>Se décline alors comme ''[[IDEO_ANV_Remarques_E#Eau|àq]]''</ref>.   
  
 
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:''Setad nep o gĕfa àt balls ni das? Da ere lootert poçtan ber çhudun àt gools!'' = Pourquoi ne lui as-tu pas passé le ballon? il était le mieux placé pour tirer au but!
 
:''Setad nep o gĕfa àt balls ni das? Da ere lootert poçtan ber çhudun àt gools!'' = Pourquoi ne lui as-tu pas passé le ballon? il était le mieux placé pour tirer au but!
 
:''Taw gevératen nidiven, ka gĕfă ni das ùt venéren graṅgec.'' = En guise de cadeau d'adieu, elle lui passa une maladie vénérienne.
 
:''Taw gevératen nidiven, ka gĕfă ni das ùt venéren graṅgec.'' = En guise de cadeau d'adieu, elle lui passa une maladie vénérienne.
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"Se passer de" se traduit par ''sindor'':
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:''Er mir sindòre ase.'' = Nous nous passerons d'eux.
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:''Da kan nep sindòr ed madhes.'' = Il ne peut pas se passer de sa mère.
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''Sindòr'' est un verbe construit sur ''dor sin'' (faire sans). Le complément d'objet est (naturellement) à l'accusatif.
  
 
===Passif===
 
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===Pauvre===
  
Celui qui n'est pas riche: ''vymq'' (inverse décalé de ''plut'').<br/>
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Celui qui n'est pas riche: ''[[Akrig_sc#Tableau_des_consonnes|qùmf]]''.<br/>
 
Celui qui est malheureux est ''tolor''. Ce terme est davantage utilisé que le précédent: [http://fr.lyrics-copy.com/georges-brassens/pauvre-martin.htm <font color=black>''Tolor Martín''</font>]. Le contracté ''tol'' est plutôt dit en mauvaise part<ref>ce qui le raqpprocherait, en fait, de ''do(o)l''</ref>:
 
Celui qui est malheureux est ''tolor''. Ce terme est davantage utilisé que le précédent: [http://fr.lyrics-copy.com/georges-brassens/pauvre-martin.htm <font color=black>''Tolor Martín''</font>]. Le contracté ''tol'' est plutôt dit en mauvaise part<ref>ce qui le raqpprocherait, en fait, de ''do(o)l''</ref>:
 
:''tol dĕ!'' = pauv'type!
 
:''tol dĕ!'' = pauv'type!

Version du 5 novembre 2011 à 14:42

Page

Pàzh, c'est UNE page (d'un ouvrage, d'un rapport).
Paazhdak, c'est UN page (serviteur).

Àt regdak gónleg kœm ed paazhdax

Pair

Pàr, c'est l'adjectif, notamment utilisé en mathématiques (pàr numbar, pàr fœnktyn); pàrdu, c'est une personne.

Palais

Palast, c'est le bâtiment;
kesèm, c'est celui de la bouche.

Panoramique

Panòramig, c'est l'adjectif;
panòramik c'est le mouvement d'une caméra embrassant un angle donné lors d'une prise de vue.


Pantalon

Ep la dev vær ùt legsàrges ber omfàktun ùr goçhmœfadse? = Doit-on porter un pantalon pour commettre des pantalonnades ?


Pantographe

Tout est affaire de bras (articulé) = pradhem.

Pour un dessinateur, c'est hrafprádhem.
Pour une locomotive, c'est korprádhem.


Papeterie

Papirfàktur = fabrique, fabrication du papier.
Papirtœl = ensemble de ces articles fabriqués: cahiers, intercalaires, chemises...
Papiskòp = boutique où on vend ces articles.

Papier

Papiyr est utilisé aussi bien pour désigner la matière qu'une feuille; toutefois, les papiers qui garnissent le portefeuille se disent dokumènte.

Paquet

Enveloppé, se dit pàk, simplement ficelé, peut s'écrire pàk ou pàq<ref>Se décline alors comme àq</ref>.

Para-

OL- (de la préposition OL, signifiant "autour de") = à côté: olmílitar, olqbarmàki.
Para- préposition à-postériori, utilisée dans certains mots, à postériori eux aussi, ayant soit la signification précédente, soit la signification suivante...
Mu- = qui protège, soit de manière active (qui empêche), soit de manière passive (qui supprime ou atténue les conséquences fâcheuses): muvàl.

Parade

Parrat, c'est le fait de parader;
pour mudat, voir ci-dessus. Comme son orthographe l'indique, ce mot est accentué sur la première syllabe.

Paraître

Adùsen fait référence à la parution (d'un périodique, par exemple); adère (se conjuguant comme ERE, mais régulier) est le synonyme de "apparaître comme".

Parapet

La construction du mot mùstracat vient de

mu- cf ci-dessus
-ùs- = hors de
strad = route
-sat = dispositif.

Le U, commun à MU et à ÙS a été accentué.
Le C est une contraction du D de strad et du S de sat.

Paraphilie

La traduction en aneuvien de ce mot issu du vocabulaire de la psychanalyse est explicite, Olgofèred:

ol- = autour de, à côté
-gooxen = sexuel
-fèred = attirance.

Synonyme: olqúd

même préfixe
qud = désir sexuel.

Cf. les mots en -phil- pour plus de détails.

Paravent

Tout dépend de l'utilisation qu'on fait! si c'est dehors, pour se protéger effectivement des bourrasques, mufiyn est la traduction naturelle de ce mot. À l'intérieur d'une pièce où le vent souffle rarement, mais où l'on souhaite une séparation plus légère et plus mobile qu'une cloison, ou bien si on veut disposer d'une alcôve pour se protéger des regards, muvèd sera plus approprié.

Parfaire

Attention à l'adjectif, différent du participe passé perfàktuna: Perfàkt = parfait.

Parler

Traduit par deux verbes: lokùt & dysert.

Le terme le plus couant est lokùt:

Eg lokùtun ni ed fràndak an. = Je parle à son frère.
Ar lokùte anoevens. = Ils parlent aneuvien.
Eg lokùt spanens ni Divs, italens ni kadse, fraṅsens ni daxe ea dyshes ni med hippos. = Je parle espagnol à Dieu, italien aux femmes, français aux hommes et allemand à mon cheval. (Ch. Quint).

On utilise dysert (avec le complément au génitif) quand on évoque quelque chose ou quelqu'un.

La dysertun cyn = on en parle.
La mir dyserte àt adnælaten à straden àt posvic afýplentev = On parlera de l'élargissement de la route à la prochaine réunion.

Si le sujet est un verbe, on le mettra naturellement au participe:

A ere dyserte adlúngun àt dulens métron = Ils parlaient de prolonger la ligne de métro.

Si on utilise dysert avec un nom de langue, on mettra ce dernier au circonstanciel. Da dysert sed hœndeden ni sed gatex sigeteve = Il parle de son chien à sa chatte en (langage des) signes.

  • "Parler pour" se traduit par lokùt pœr mais on tâchera de faire attention au cas du nom qui suit, selon le sens:
eg lokùta pœr os àt afýplentev. = J'ai parlé pour toi à la réunion (j'ai parlé en ta faveur).
eg lokùta pœr ov àt afýplentev. = J'ai parlé pour toi à la réunion (j'ai parlé en ton nom).

Parricide

Parenmátdat, c'est le crime, parenmátdu, c'est son auteur. En cas de problème phonique, le -T- peut être escamoté à la prononciation, pas à l'othographe.

Part

Part, est la traduction homonyme et synonyme de "partie", issue d'un partage:

Eg mir nep læd os gœnes al àt lotarfes! Part ni tiyn, egatèsdak! = je ne vais pas te laisser prendre tout le bénéfice! Part à deux, égoste!

-klœt se retrouve dans les locutions adverbiales de lieu comme nepklœt ou aliklœt.
Sinon, "part" se traduit par le pronom personnel au circonstanciel: ka potna nep kom: e kom kav = Elle n'a pas pu venir, je viens de sa part.
ou bien par pœr plus le nom au circonstanciel:

Eg remíd æc en ni ors pœr àt præsidentev. = Je vous remets ceci de la part du président.


Particule

Çok, c'est une particule élémentaire;
hraslòv, c'est une particule grammaticale (EP, MIR, ÇEM);
lignám, c'est une particule dans un patronyme (de, Mc, O', von...).

Particulier

Pryvàt signifie "particulier" dans le sens de "privé", c'est, du reste, le même mot aneuvien. Romon est un mot construit sur l'anacyclique approximatif de omor auquel on a ajouté la terminaison -(e)N d'un bon nombre d'adjectifs qualificatifs. Ce mot traduit "particulier" dans le sens de "non général, ce qui attire l'attention", etc...

De ce dernier adjectif est tiré le verbe adròmes signifiant "rendre particulier"; qu'on distinguera de adenpártes: "faire connaître les détails d'un ensemble".

Partie

Deux à-postériori venant de l'anglais:

Part = la partie d'un tout,
gàm = une partie (jeu).

Fejin se rapprocherait plutôt de "réception", "surprise-partie"; formé de fej = fête + le diminutif -in.

Partition

Natjærd, c'est un cahier (tetjærd) contenant des notes de musique (nàd);
partèntyn, c'est le fait de diviser en plusieurs part, son résultat.


Passage

Pasdat pour l'action de passer, paskal pour l'endroit où on passe (maar-paskal, fœnt-paskal...).

À xhilçhíp krata ùt paskals = le brise-glace a créé un passage.


Passe

Application terme
danse
escrime
kinaṅt
droit d'accès
clé de secours
pasat<ref>On ne confondra pas.</ref>
prestidigitation vivoviv
(abracadabra)
prostitution prask


Passer

Toute idée de déplacement se traduit par le verbe pas:

o mir ep àt tempes passun es ad? = tu auras le temps de passer chez moi?

Possible aussi, dans cette acception:

Àt kullat ere hab doolen passun: eg elinzha ed partes rostanen àt làtrynev. = La sauce avait du mal à passer: j'ai rendu ma part de rôti aux toilettes.

Changer d'état, de nature, de couleur etc... se traduit par lorèd

Da lorèdă yn rubs, yn wỳc, yn hræns sjo yn krajs: da ere tœn. = Il passa au rouge, au blanc, au vert puis au gris : il était mort.
ka lorèda fran àt zhovnetev yn à snaṅsec ùt rekòrdev tempev! = Elle est passée de la joie à la tristesse en un temps record!

Lorèd est utilisé dans d'autres acceptions figurées les plus diverses, comme dans:

Æt nep erlood, do æt mir poten lorèd<ref>Radical utilisé dans lordar = passable.</ref>= C'est pas excellent mais ça pourra passer.
Ed neràpdu dená: ka dora as lorèd! = Son enfant est mort: elle l'a fait passer !
Àt lek lorèda tiyn skrĕteve letas. = La loi est passée à deux voix près.
Ar dorar das lorèd tljutj ber kàptun àt nervègac. = Ils l'ont fait passer pour fou pour capter l'héritage.

Autre verbe figuré, assez proche, dans le sens de lorèd: pàn.

Æt mir pàn ni das aṅtep æt bisgunes ni es! = Ça lui pass'ra avant qu'ça m'reprenne!
Ar pànar al àt postilidaw spiylun. = Ils ont passé l'après-midi à jouer.

Au sens de "transmettre", se traduit par gĕf:

Gĕfet ed nùpdax ni es, eg hab slovse ber diktun ni das. = Passe-moi ton mari, j'ai (deux) mots à lui dire.
Setad nep o gĕfa àt balls ni das? Da ere lootert poçtan ber çhudun àt gools! = Pourquoi ne lui as-tu pas passé le ballon? il était le mieux placé pour tirer au but!
Taw gevératen nidiven, ka gĕfă ni das ùt venéren graṅgec. = En guise de cadeau d'adieu, elle lui passa une maladie vénérienne.

"Se passer de" se traduit par sindor:

Er mir sindòre ase. = Nous nous passerons d'eux.
Da kan nep sindòr ed madhes. = Il ne peut pas se passer de sa mère.

Sindòr est un verbe construit sur dor sin (faire sans). Le complément d'objet est (naturellement) à l'accusatif.

Passif

Se dit çerem, aussi bien pour le passif d'un bilan que pour quelqu'un de passif. A donné<ref>à moins que ce ne soit l'inverse</ref>la particule ÇEM.

Patron

Erkàpdu, c'est le chef, le boss, celui qui dirige (et, en principe, protège) tout.
modor c'est un modèle de découpe.

Patte

Celle d'un animal se dit zeg (zo/leg). Utilisable égalemednt au figuré (péj.):

Dimet ted zegse ùs dær! = Ôte tes pattes de là !

Dans toute autre acception, on dira put:

ùr pute ùt mikroproçesoren = les pattes d'un microprocesseur
Da dem læda ar puce ræsun. = Il s'est laissé pousser les pattes.
Àt put àt mastren = La patte du maître.


Pauvre

Celui qui n'est pas riche: qùmf.
Celui qui est malheureux est tolor. Ce terme est davantage utilisé que le précédent: Tolor Martín. Le contracté tol est plutôt dit en mauvaise part<ref>ce qui le raqpprocherait, en fait, de do(o)l</ref>:

tol dĕ! = pauv'type!


Pavillon

Ărygòl à l'oreille,
quartoos ailleurs (quartier résidentiel, hôpital...).

Payant

Pagun = qui paie (adjectif issu du participe présent de "payer": pagen).

Àr adinphèndur ea'r pagune vedjádur ep. = Il y a les invités et les visiteurs payants.

Pagend = qui doit être payé (adjectif issu de l'Impératif du même verbe).


Pa

<references/>