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Le '''{{MediaWiki:AVK_Idéolangue}}''' est une langue auxiliaire ''[[a priori]]'' créée par [[Staren Fetcey]], officiellement née en 1978. 3 grandes réformes sont intervenues par la suite, en 1988, 1993 et 2008. L'idée fondamentale de la conceptrice du kotava était qu'une langue artificielle de communication n'avait ''une chance'' de percer largement qu'en adoptant, outre des principes absolus de simplicité et de régularité, un lexique volontairement original, sans aucun lien avec les langues naturelles actuelles ou anciennes, et sans emprunter à leurs schémas sémantiques (lesquels reflètent en grande part les substrats culturels et sociétaux). L'idée du concept ''a priori'' pouvait sembler audacieux, voire déraisonnable dans la mesure où il obligeait tout apprenant, du Cap à Narvik ou se Shangaï à Punta Arenas à ne plus puiser sans les sources de sa langue ni de celles qu'il avait apprises pour assimiler un vocabulaire, mais à tout découvrir et assimiler ''du début'', comme s'il apprenait une langue totalement inconnue, voire comme s'il réapprenait à parler. Mais c'était la rançon d'une véritable neutralité lexicale et surtout culturelle.
  
 
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Version du 11 octobre 2011 à 21:42

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  Kotava
Kotava
 
Année de création 1978
Auteur Staren Fetcey
Régulé par Comité linguistique (Kotava Avaneda)
Nombre de locuteurs env. 50
Parlé en Principalement en France, Afrique, Espagne, Canada, Polynésie
Idéomonde associé
Catégorie Idéolangue auxiliaire
Typologie vocabulaire à-priori, syntaxe CSV
Alphabet latin
Lexique 17.500 radicaux
Version III.12
Codes de langue
ISO 639-1
ISO 639-2
ISO 639-3 avk
Préfixe Idéopédia AVK

Nilt avk.gif

Historique

Le Kotava est une langue auxiliaire a priori créée par Staren Fetcey, officiellement née en 1978. 3 grandes réformes sont intervenues par la suite, en 1988, 1993 et 2008. L'idée fondamentale de la conceptrice du kotava était qu'une langue artificielle de communication n'avait une chance de percer largement qu'en adoptant, outre des principes absolus de simplicité et de régularité, un lexique volontairement original, sans aucun lien avec les langues naturelles actuelles ou anciennes, et sans emprunter à leurs schémas sémantiques (lesquels reflètent en grande part les substrats culturels et sociétaux). L'idée du concept a priori pouvait sembler audacieux, voire déraisonnable dans la mesure où il obligeait tout apprenant, du Cap à Narvik ou se Shangaï à Punta Arenas à ne plus puiser sans les sources de sa langue ni de celles qu'il avait apprises pour assimiler un vocabulaire, mais à tout découvrir et assimiler du début, comme s'il apprenait une langue totalement inconnue, voire comme s'il réapprenait à parler. Mais c'était la rançon d'une véritable neutralité lexicale et surtout culturelle.

Phonologie

Toutefois, le système d'écriture est, lui, a posteriori puisqu'il se base sur l'alphabet latin, soulagé du H et du Q:

Le Kotava comporte donc officiellement vingt-quatre lettres :

  • cinq voyelles (a, e, i, o, u)
  • dix-sept consonnes (b, c, d, f, g, j, k, l, m, n, p, r, s, t, v, x, z)
  • deux semi-voyelles (w, y)


Minuscule Majuscule Prononc. API Équiv. Français Exemples
a A /a/ a alma
b B /b/ b balemoy
c C /ʃ/ ch, sch centa
d D /d/ d danka
e E /e, ɛ/ è eka, en
f F /f/ f fala
g G /g/ g gola
h H /j/ ill, y nhul
i I /i/ i ilana
j J /ʒ/ j, g jergol
k K /k/ k kiava
l L /l/ l ludev
m M /m/ m mona
n N /n/ n nik
o O /o, ɔ/ o severo, suterot
p P /p/ p pintik
r R /ɾ/ r rebava
s S /s/ s suka
t T /t/ t taka
u U /u/ ou ugal
v V /v/ v va
w W /w/ w wida
x X /x/ kh xanta
y Y /j/ y yanta
z Z /z/ z zae

La semi voyelle H qui existait depuis l'origine a été supprimée par la réforme entérinée en mars 2011 par le Comité Linguistique régulateur du Kotava. Elle est désormais remplacée en tous mots par le Y. Elle peut encore se trouver dans les textes antérieurs à cette date mais il est dorénavant théoriquement obligatoire d'utiliser Y.(ex. lhumá --> lyumá ; mhot --> myot ; sinkanha --> sinkanya).

Grammaire

Les substantifs

Voir ici article détaillé sur les substantifs



Les verbes

En Kotava, les verbes, situés à la fin des propositions, sont le pivot de la phrase kotavienne. Leur conjugaison diffère sensiblement de ce que nous connaissons et font largement appel à toute une panoplie de particule, ainsi que des terminaisons très régulières, mentionnées dans cette page.


Les déterminatifs

Voir ici article détaillé sur les déterminatifs

En Kotava, les déterminatifs sont... (texte de présentation à venir).


Lexique

Méthodes d’apprentissage

Textes

Littérature

Dans le roman Les Tétraèdres (Yurani Andergan, éd. Verintuva, ISBN : 978-2-9536310-0-5, 1274 p.), vaste fresque historico-fantastique, le Kotava est la langue qu'auraient parlée les Neandertaliens et transmise de façon secrète à leurs descendants pendant de nombreuses générations et qui est déclamé par certaines héroïnes sous forme de longs chansonges ou d'oracles (traductions en annexes du roman).

Communauté

Idéomonde associé

Le kotava fut au départ prévu pour être une langue auxiliaire, par conséquent, aucune diégèse ne semblait avoir été prévue comme cadre par sa conceptrice. Toutefois, Akakuro le créateur du Navsio lui donna une place comme langue officielle de la République de Murasacichi, État parmi neuf autres situés sur une pangée faisant partie de la planète Sukoe.

Sites de référence

Autres liens