IDEO ELK Clé

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Comme en chinois<ref>Le chinois utilise un système de clés, mais le fonctionnement est différent de celui de l'elko.</ref>, l'elko fonctionne à l'aide de clés. Il s'agit de petites racines de trois lettres qui permettent de former tous les mots du vocabulaire. L'avantage de ce système est que l'on peut construire intuitivement une infinité de mots avec un nombre limité de clés. La langue s'apprend et s'utilise ainsi plus rapidement qu'une langue naturelle. Il n'y a pas de dictionnaire à apprendre, juste une liste réduite de clés. Avec 50 clés apprises vous pouvez déjà faire plus de 60 000 mots de tête.


La connaissance des clés vous permet d'atteindre le niveau 1.1


Book.jpg La grammaire méthodique
Niveau 1 : les bases • Niveau 2 : l'essentiel • Niveau 3 : les nuances • Niveau 4 : la maîtrise
 
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Présentation

Historique

L'elko descend d'une langue plus ancienne : l'urque. Cette langue mère ne disposait que de 24 clés correspondant aux 24 runes du futhark, la spécificité de l'elko est qu'il dispose de clés supplémentaires et offre également la possibilité à ses locuteurs d'en proposer de nouvelles. Alors que les clés de l'urque provenait du futhark, les clés de l'elko proviennent du nom des divinités (théonymes) appartenant aux mythologies du monde entier, cela s'appelle la thétymologie.

La thétymologie

Voir aussi : thétymologie, Transcription Onomastique Appliquée, morphogenèse

L'originalité de l'elko est son étymologie que l'on appelle "thétymologie". Ce néologisme formé à partir du grec Θεός ("dieu") et ἐτυμολογία ("étymologie") traduit le fait de construire des clés à partir du nom de divinités (théonyme). Ainsi la plupart des clés trouvent leurs origines dans le nom de divinités présentes dans plus d'une quarantaine de mythologies à travers le monde.

Ainsi, la clé RAN (ciel) provient de Ouranos (mythologie grecque), de Uranus (mythologie romaine) et de Rangi (mythologie maori), trois divinités du ciel. Le sens de la clé ainsi créée n'est pas en relation avec le sens du nom, même si c'est parfois le cas, mais avec les spécificités de la divinité.

L'obtention d'une clé à partir d'un nom propre est réalisable grâce à un procédé appelé Transcription Onomastique Appliquée. Il s'agit d'une technique qui permet de décomposer un nom propre de divinité (théonyme) en clés. Une fois que ceci a été fait, les théonymes sont classés par catégorie de clé.


Remarque : N'importe quel utilisateur, s'il le souhaite peut proposer à l'académie elkanne une nouvelle clé. Pour se faire, il doit suivre une procédure spécifique appelée morphogenèse. Il peut également se rendre sur Elkodico pour connaître le fonctionnement exact de ce procédé et y poser toutes les questions.Il est également possible d'utiliser la page de discussion de cette page pour poser vos questions.

Description

Les clés sont donc les éléments de base du vocabulaire de l'elko. Elles peuvent s’utiliser seules (onomatopées et interjections), avec des affixes (affixation) ou se combiner entre elles (agglutination). Une fois maîtrisées, il ne vous restera plus grand chose à apprendre. Les clés sont donc le gros morceau de la grammaire elkanne.

Morphologie d'une clé

Une clé comporte toujours trois lettres : une consonne (C) à chaque extrémité et une voyelle (V) au centre. La première des deux consonnes est appelée « consonne de tête », la seconde « consonne de queue », la voyelle, quant à elle est appelée « voyelle de corps ».


Exemple : TAN (arbre)<ref>Une clé est présentée en majuscules mais utilisée en minuscules : TAN (arbre) mais tano l'arbre.</ref>

  • T : consonne de tête
  • A : voyelle de corps
  • N : consonne de queue


Remarque : Alors que les six voyelles de l'alphabet de l'elko sont utilisées pour former les clés seules 13 consonnes sur les 16 que compte l'alphabet sont employées. Elles sont réunies sous le nom de suite de Rėka Kana, les consonnes restantes sont appelées consonnes particulières (suite de Feha Haga) et jouent un rôle sémantique non négligeable.

Sémantique d'une clé

Une clé (en majuscules) possède toujours un sens propre et un champ sémantique. Le sens propre (entre parenthèses) est un mot générique donnant une idée du concept de la clé. Le champ sémantique (en italique), quant à lui, est constitué de tous les mots plus ou moins liés au concept que véhicule cette clé

Exemple : TAN (arbre) branche, tronc, feuillage, fût, forêt, bois,…

Notes et références

<references />


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