Malyr

Le Malyr est laprovince la plus montagneuse de l'Aneuf avec la chaîne des Alorynes qui tient environ la moitié du territoire. Cette chaine de montagne est divisée en trois parties, à savoir:

Les Alorynes du Nord-Ouest, qui concernent tous les reliefs situés au sud du littoral océanique jusqu'aux rives de la Redhe et du lac d'Om (Omyl).

Les Alorynes du centre, celles qui contiennent le plus de sommets élevés. Cette région est délimité toutefois par une montagne moyenne à l'est, s'élève ensuite assez rapidement pour atteindre son point aux montagnes grises (3352m) puis redescend vers la vallée de la Redhe, puis la ville de Lenow, au confluent avec la Skovaan.

Les Alorynes du sud qui, si elles contiennent moins de sommets élevés que celles du centre, logent tout de même le massif du mont Alor, point culminant de la province et du pays: 4108m, ainsi que la source de la Skovaan, principal fleuve du pays et cours d'eau nourricier des civilisations Ptahx (Santes) et Akrig (Alfazie).

La Malyr est la province la plus riche du pays. Véritable "petite Suisse aneuvienne", elle abrite un grand nombre d'activités de tous secteurs, dont le plus récent est la haute technologie et le tourisme hivernal.

De par sa situation géographique, le Malyr fut un véritable refuge pour tous ceux qui refusèrent l'arbitraire du pouvoir central, qu'il siégât à Nakol (fin du XIXe siècle) ou bien à Hocklenge (1939 à oct. 1945). Sfaaraies, jadis gros bourg s'enfla au point de devenir la troisième municipalité du pays en population (≈424kHab, derrière Hocklènge et Nakol) et capitale de la troisième région (toujours en population, ≈1,440 MHab, derrière le Surroenyls et le Pelljant. Sfaaraies devient, une fois l'Aneuf libéré, sa capitale juridique le le siège de sa cour de cassation.

Le Malyr compte maintenant une région de moins: l'archipel de Lakùr est depuis la fin de l'année dernière une province fédérée et non plus une région malyroise (comme elle l'était depuis 1945 jusqu'à son nouveau statut).

La deuxième région en importance, tant économique qu'en population est le Nopral, véritable nœud de communication et région frontalière tout à la fois avec le sud du Kanolthe (Lovlaṅd, Ypprolaṅd) et le nord des Santes (Sante homonyme).

Sinon, le résau hydrographique assez important du pays lui apporte une énergie électrique abondante et bon marché. Ce qui permet notamment l'électrification assez précoce de l'ensemble des lignes de chemins de fer... comme en Suisse!

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