La technique du Ruban

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La technique du Ruban ou le Ruban de la tolérance et un principe philosophique basique très répandu dans l'l'empire ikien.

Principe

Le principe de la technique du Ruban est réellement très simple. Il consiste à dire qu'il est plus efficace et profitable d'améliorer sa position que de chercher à s'emparer d'une meilleure position.

Histoire

Le principe nait dans les basses sphères politiques des petites nations. Tout particulièrement à Nay'jêr (/nɑjdʒœr/) ou le peuple de Nûl Paka était dirigé par un roi et quatre ministres. (Un système très proche de celui qui sera utilisé par l'empire par la suite) Le ministre des affaires étrangères (donc de l'économie, de la guerre, des relations, de la cutlure, etc...) : Nyo'o était une personne très ambitieuse. Aussi, il était très au courant des complots qui se faisait autour des rois qui se succédaient, et chercher à prendre le trône est aussi dangereux qu'éphémère.

Un roi très naïve finit par se retrouvé sur le trône. Il alla le voir, et lui proposa de créer une milice. La cè'hék (Ruban en Trûs'ba (langue des Nûl Pakas)) serait une milice secrète charger de déjouer tout les complots visant le roi et qui serait sous les ordres du ministre des affaires étrangères et donc de Nyo'o. Le plan initial était simple, éloigné tout ces opposants grâce à cette milice et en profiter pour faire un coup d'état et prendre la tête du royaume.

Naïf le roi accepta et la milice fut formée. Très rapidement beaucoup de complot et attentats furent déjoué. Mais le plan n'alla jamais jusqu'au bout. Nyo'o c'était rendu compte qu'il avait fait de sa position une position bien plus simple à garder et finalement, bien plus avantageuse que celle de roi.

Le prinipe de la technique du Ruban était né.

Avant sa mort, Nyo'o publia en ouvrage sur sa réussite, il l'intitula : "Sôr's µo Nyo'o ko cé'hik" soit "La monarchie selon Nyo'o, les rubans.".

A la fin de la Création, quand les différents mondes commencèrent à être connus grâce aux vaisseaus spatiaux et autres technologies, cette ouvrage fut dévoré par les communautées philosophiques des régions centristes.

Finalement, le livre le plus important fut écrit par Khèyjih' Maria (frère de Phark Maria) : "Nyoko az bééliimi nolk'cékhèk" soit "Nyo'o et la technique du ruban."

La technique du Ruban reçoit par la suite de nombreuses appelations telle que "Le Ruban de la tolérance". On retrouve parfois des exagérations commme "La technique du Ruban de la tolérance". Et elle devient alors un pilier de la philosophie dîte du Ruban, puis de la tolérance.

De nombreux mouvements lié à la philosophie de la tolérance voient le jour par la suite. Comme bien sur la tolérance linguistique dans les Kjian/Dèyan.


Applications

Le technique du Ruban aura eut de nombreux impactes.

Mouvement libérateur

De nombreux mouvements, tel que les mouvements indépendentistes ou féministes ou autres ont utilisés le symbole du Ruban pour leur cause. Parfois dénaturant clairement sa signification initiale.

Lors de la première grande bataille de Sableh ou les contaminés se battaient pour ravoir une vraie place dans la société, certaines armes étaient chargées avec des rubans.

Durant l'époque du réveil du traitre (sixième époque du première âge), lorsque l'empire Adorateur avait entièrement prit Adaria. Un mouvement de résistence trait morbide avait vu le jour. Le rebel qui se savait découvert se pendait avec des rubans dans des lieux publiques.


Liguistique

Dans la langue, il donne naissance au principe de la tolérance. Ou plutôt de directement changer la langue, ont augmente rend simplement la place de la nouvelle langue plus importante de plus en plus, jusqu'à ce qu'elle soit prête à devenir une langue à part.

En Dyèrik et en Dèykrik, l'adjectif dérivé du mot pour dire ruban (Jélam, jéli) signifie tolérant.

Divin

Adaria Diquama et Neomyte Diquama tout deux des dieux très importants possèdent un bracelet au bras droit composé de dix huit rubans.

Art

Dans l'art, les rubans colorés représentent généralement une tolérance et une acceptation de se qu'on est.

Les rubans sombres, blancs ou noir, sont généralement là pour représenté un désir d'améliorer ses conditions de vie.

Les rubans en feu représentent une partie d'un ensemble dont l'importance se voit ou s'est vue diminuée beaucoup.

Guerre

Une faj'jélam (clef de la guerre + ruban) désigne une ambassade militaire.

Division de l'idée

L'idée est déformé à travers le temps et remodelée en plusieurs groupes. On voit apparaître trois descendents : les rubans rouges, bleus et verts.

  • Les rouges étant plus sur un aspect de révolution issus de son utilisation trop importante dans les mouvements de libération.
  • Les bleus comme un symbole de respect, issue de la vision du respect de la hiérarchie poussée dans certains art (surtout le "cinéma").
  • Les verts comme un symbole de profonde détermination et d'ambition.