Clavier : Différence entre versions

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Tout d'abord mécanique, le clavier équipait les machines à écrire (alphabétiques & [[Sténographie#Sténotypie|sténotypes]]) ces claviers ont peu à peu fait intervenir l'électricité (machines à écrire également, télescripteurs,dispositifs de saisie (linotype, pour l'[[imprimerie]], appareils de saisie pour cates perforées) pour enfin ne plus avoir d"éléments mécaniques que les touches à enfoncer, l'édition étant purement numérique (ce qui permet de pouvoir générer jusqu'à six fonctions par touche, là où les claviers mécaniques d'origine ne permettaient de frapper que deux caractères <u>maximun</u> pour une touche donnée.
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Tout d'abord mécanique, le clavier équipait les machines à écrire (alphabétiques & [[Sténographie#Sténotypie|sténotypes]]) ces claviers ont peu à peu fait intervenir l'électricité (machines à écrire également, télescripteurs,dispositifs de saisie (linotype, pour l'[[imprimerie]], appareils de saisie pour cates perforées) pour enfin ne plus avoir d"éléments mécaniques" que les touches à enfoncer, l'édition étant purement numérique (ce qui permet de pouvoir générer jusqu'à six fonctions par touche, là où les claviers mécaniques d'origine ne permettaient de frapper que deux caractères <u>maximun</u> pour une touche donnée.
  
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Une bonne partie des idéolinguistes se servent du clavier courant de leur langue ou de leur pays (AZERTY en France ou en Belgique francophone<ref name ="ad">avec adaptation locale</ref>, QWERTY canadien<ref name ="ad"/>) et ajoutent les caractères manquants de différentes manières (Alt + codes de touches ou bien copier/coller depuis une listre préétablie (Charmap chez Windows, par exemple). Les plus doués d'entre eux, ceux qui ont des notions assez avancées pourront exploiter à fond les Unicodes (nombres hexadécimaux) et recréer de toutes pièces un clavier dont les touches seront entièrement redéfinies par eux (y compris l'ordre des lettres : rien ne les empêche, par exemple de commencer la séquence de lettres par QZERTI).
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==Quelques termes==
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[[Catégorie:Écriture]]
 
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Version du 5 novembre 2012 à 14:52

Présentation

Le clavier est, ici, du moins, un dispositif formé d'un ensemble de touches permettant d'éditer un texte.

Histoire

Tout d'abord mécanique, le clavier équipait les machines à écrire (alphabétiques & sténotypes) ces claviers ont peu à peu fait intervenir l'électricité (machines à écrire également, télescripteurs,dispositifs de saisie (linotype, pour l'imprimerie, appareils de saisie pour cates perforées) pour enfin ne plus avoir d"éléments mécaniques" que les touches à enfoncer, l'édition étant purement numérique (ce qui permet de pouvoir générer jusqu'à six fonctions par touche, là où les claviers mécaniques d'origine ne permettaient de frapper que deux caractères maximun pour une touche donnée.

Maintenant

Aujourd'hui, quand on évoque un clavier<ref>Dans le milieu qui concerne cette encyclopédie, à savoir la linguistique : on mettra de côté les claviers de téléphones, de calculatrices et de tout dispositif de sécurité (coffre-forts, digicode...).</ref>, on pense surtout au périphérique de saisie alphanumérique pour les ordinateurs, que celui-ci soit articulé (portables), relié physiquement (connectique) ou non (wifi). Celui-ci a une souplesse incomparable si on le compare à celui des outils précédemment cités. Non seulement une touche peut générer plus de deux caractères différents (cf. fin de paragraphe précédent) mais le clavier "peut parler un grand nombre de langues" selon les configurations acceptées par le système d'exploitation. D'ailleurs, un clavier cyrillique ou grec doit pouvoir être en mesure de générer des caractères latins, les seuls requis dans les adresses de courriels ou de la Toile.

Claviers et idéolangues

Une bonne partie des idéolinguistes se servent du clavier courant de leur langue ou de leur pays (AZERTY en France ou en Belgique francophone<ref name ="ad">avec adaptation locale</ref>, QWERTY canadien<ref name ="ad"/>) et ajoutent les caractères manquants de différentes manières (Alt + codes de touches ou bien copier/coller depuis une listre préétablie (Charmap chez Windows, par exemple). Les plus doués d'entre eux, ceux qui ont des notions assez avancées pourront exploiter à fond les Unicodes (nombres hexadécimaux) et recréer de toutes pièces un clavier dont les touches seront entièrement redéfinies par eux (y compris l'ordre des lettres : rien ne les empêche, par exemple de commencer la séquence de lettres par QZERTI).

Quelques termes

À venir



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