IDEO ANV Adpositions
Sommaire
Elles jouent un grand rôle en aneuvien, quand elles existent. Effectivement, dans des cas simples (à pied, de marbre, en colère, le soir) la déclinaison du complément suffit. Toutefois, pour éviter des confusions ou pour apporter une nuance, l'existence d'une adposition, et même son emplacement, peut être utile.
À
- À, en tant que préposition de lieu ou de temps, n'est pas traduite :
A pùze kaṅtyns hoψev dektern = Il va à la cantine à treize heures. Le premier complément est à l'accusatif (idée de mouvement vers), le second au circonstanciel.
Utilisée comme préposition d'un moyen de transport (de même que en) ne se traduit pas non plus, le complément est au circonstanciel.
- E kœnada àt roods fœntev = j'ai fini la route à pied<ref>Utilisant la même contruction, la phrase suivante :
- Kar kawehrdesar àt kullec hryt fœntev = Elles ont traversé la rivière à pied sec.</ref>
- Devant un verbe à l'infinitif, la préposition ne se traduit pas davantage, mais le verbe se transforme en adjectif impératif. Toutefois, en l'absence de nom, on utilisera le verbe au participe, précédé de ber :
- Eg hab ber dorun = J'ai à faire.
- Il se traduit...
par ni (nit, nir, combiné avec àt ou àr) pour l'attribution
- ni Ekkads, nir neràpduse, ni es = à madame, aux enfants, à moi.
Par kœm (avec) sans article pour l'accompagnement culinaire
- ù tord kœm hùbarbes = une tarte à la rhubarbe
Par yn (temps) ou dyn (lieu) pour une idée de limite (rykip yn = jusqu'à). Cf exemple avec fràn.
Après
En préposition, indique seulement une idée de postériorité, se traduit par pos.
- Æt kovhoos staṅ opan pos hoψev dek-nov. Ce magasin reste ouvert après sept heures.
- E dhep pas pos orv. = Je passe après vous.
En préposition également, mais se traduit par ob derrière un verbe de mouvement comme klàtak (courir), klòtok (galoper), klekt (trotter), faar (se déplacer en véhicule) indique également une idée de poursuite, consentie ou non, pas nécessairement hostile mais plutôt contraignante.
- Da dem draaṅg ob kav kes ùt ladbállev. = il se traîne après elle comme un boulet.
Encore plus contraignant, voire franchement hostile, en postposition (complément à l'accusatif) :
- Dar • repen es ob = ils sont toujours après moi !
Avant
Traduit par aṅt et appelle le circonstanciel.
- En préposition dans ce type d'exemple :
- Eg ere iyr aṅt orv; or fàktet<ref>ou dorit</ref>ep àt watkœns! = J'étais ici avant vous ; faites donc la queue !
- Si le complément représente une unité de temps, on aura soit une préposition, soit une postposition, comme ci-après :
- Or komit aṅt hoψev tiynek. = Venez avant huit heures.
- Or komit tiyn hoψeve aṅt. = Venez deux heures avant.
Avec
Se traduit par kœm. Appelle soit
- un complément d'accompagnement à l'accusatif
- La vedj eper das kœm sed hœndes = On le voit toujours avec son chien.
- Un complément de manière, au circonstanciel
- Da traṅgen kœm prodaṅsev. = Il conduit avec prudence.
- Un complément de moyen, également au circonstanciel
- Nep inzhet kœm ted digteve = Mange pas avec tes doigts.
- En postposition (sens figuré) suit toujours un nom au circonstanciel.
- Da liyma moṅdes æt dœmetev kœm. = Il a quitté (laissé) le monde avec cette pensée.
Chez
- Se traduit par ad en postposition si on exprime une idée de domicile :
- Eg mir pùze sliyfun orv ad = J'irai dormir chez vous (A. de Maximy. Dormir où ? pas de mvt → circ.)
- Or retropùzete ors ad = Rentrez (repartez) chez vous. (idée de mvt vers → acc.)
- àr klave en ad = les clefs de chez moi ("chez moi", complément du nom "clefs" → gén.)
- Ar ad • lyd = C'est joli chez eux (chez eux est joli).
Ad peut être combiné avec une préposition. Toutefois, dans ce cas, le cas du nom sera celui régi par la préposition :
- Eg ere ad ors ad aṅvic heptaw = J'étais vers chez vous la semaine dernière.
- Da pùzun fràn dav ad = Il part de chez lui.
- Sinon, on utilisera int en préposition<ref>Prononciation du T escamotée en cas de nécessité</ref>avec le circonstanciel...
- àt praktig àt hœṅten int naṅderthalduv = La pratique de la chasse chez l'homme de Néanderthal.
... ou en postposition :
- à snaṅset àr lyrmduve int = la tristesse chez les romantiques.
Comme
Traduit par kes.
Cette préposition peut accompagner soit un complément circonstanciel de manière<ref>Il existe aussi son équivalent comme conjonction de subordination :
- Eg fàk kes la dikta ni es. = Je fais comme on m'a dit.</ref>
- Fàktet kes ev. = Fais comme moi.
Peut être accompagnée d'une autre préposition : Fàktet kes pœr es. = fais comme pour toi. Le cas du complément est régi par la dernière préposition.
Soit un attribut. le cas de l'attribut (s'il est déclinable, c'est à dire, si ce n'est pas un adjectif) dépendra :
- E • kes æt! = j'suis comme ça !
- Ar klàte ase kes ùr lærgduse. = Ils les traitent comme des esclaves.
Contre
Cette préposition peut s'exprimer de plusieurs manières différentes selon l'idée qu'on veut exprimer. Si on veut exprimer la position d'une personne ou d'un objet, on mettra ob en préposition et on utilisera l'accusatif ou le circonstanciel, selon qu'il y a, ou non, mouvement.
- A adpoç àt sejdos ob àt vals = il place la chaise contre le mur.
- Àt baard • ob àt tœrev = le sac est contre la porte.
- Si on veut exprimer une hostilité, on utilisera ob en postposition et le complément sera toujours à l'accusatif.
- Da ere àt abòrtyns ob; dewèrtep ed neràpkad partùr, da • pœr! = Il était contre l'avortement ; depuis que sa fille est enceinte, il est pour !
Certaines nuances peuvent être soulignées avec certains verbes et ob :
- Avec zlàn = lancer :
- Da zlàna àt bals ob àt vals = il a lancé la balle contre le mur (pour qu'elle rebondisse)
- Da zlàna à stoons àt vytres ob = il a lancé la pierre contre la vitre (pour briser cette dernière).
- Avec posfaar (mais aussi posgæn...) = suivre :
- La posfaare ase = on les suit (on est derrière eux, ce sont eux qui ouvrent le chemin)
- La posfaare ob ase = on les suit (on les file, pour savoir où ils vont)
- La posfaare ase ob = on les suit (on les pourchasse, pour les rattrapper) mais, s'il s'agit vraiment d'une traque, on dira plutôt : La obfaare.
Si un verbe contient déjà le préfixe ob- (en général, verbes issus du vocabulaire du conflit), on évitera de réutiliser ob :
- Æt kad ep kàna obgèktor kas es ni = Cette femme a dû la monter contre moi. (Felix, in : Le Père Noël... 15).
Dans le cas d'un échange, on utilisera kœm en postposition.
- Eg liym ni ors ùt olygs ed adlàjalentynen en tinèrent eurove kœm = Je vous laisse un peu de mon affection contre 200 €.
Dans, sous & sur
- Avec une idée de mouvement vers (complément de lieu), in (Dans) précède l'accusatif (), sinon, il précède le circonstanciel.
- Comme adposition de temps, ou bien au sens figuré, il sera mis en postposition (lire ci-dessous) :
- E dhep retrokòm dek minúteve in = Je reviens dans dix minutes.
- Ka hab àt fiylen ed warkev in = Elle a du succès dans son travail.
- Kòmit med pradhemse in! = Viens dans mes bras !
- L'utilisation de en (sur) et sub (sous) est soumise aux mêmes règles :
- Àt mooz klàtak sub àt kœmods = la souris court (vers) sous la commode.
- Àt mooz klàtak sub àt kœmodev = la souris court sous la commode (elle est déjà dessous et elle court).
- À floxent adkrændes en àt tarmàx = L'avion atterrit sur le tarmac. (houlà !)
- À floxent rolen en àt tarmàkev = l'avion roule sur le tarmac.
- Kæt, ev sub, æt milùtul dem prog, færun àt frœṅtev ùt dasem tàrdec = Sous moi donc, cette troupe s'avance et porte sur le front une mâle assurance. (donc, sous moi... portant au front...) (Le Cid 43)
- L'expression "compter sur _" se traduit en aneuvien par rœṅt _ en. en est donc en postposition. Si le complément est une personne, un animal ou un objet, il sera à l'accusatif :
- Àt trapordak rœṅt sed hœndes en = Le trappeur compte sur son chien.
Pour tout autre complément (un fait, par exemple), on utilisera le circonstanciel :
- Æt tràgendu ere rœṅt àt viktorev àt hosten en = Ce traître comptait sur la victoire de l'ennemi.
On fera attention à la possible confusion entre la postposition et le pronom personnel à la première personne au génitif (après ed) !
- Ar rœṅte ed skribkaż en en = Ils comptent sur ma secrétaire<ref>Ar rœṅte ed skribkaż en aurait signifié : "ils comptent sur leur secrétaire"</ref>.
De
DE n'est pas traduit en aneuvien dans ces exemples, le mot qui suit derrière est
- soit au génitif :
- Ùt vas viynen = un verre de vin ;
- la dysert on àt gazetev in = on parle de toi dans le journal.
- soit à l'accusatif :
- Da • njærk kas = il est dingue d'elle
- soit au circonstanciel :
- Ùt kaweharda dektyn hoψeve = une traversée de douze heures<ref>...mais dektyn hoψe kawehardan = douze heures de traversée.</ref>.
Par contre, dans "Il sort de l'immeuble" : de est mis pour HORS DE (cf plus loin) et, par conséquent apparaît : (d)a pùze ùs àt bynòψakev. Toutefois, si on utilise des verbes comme usgæn, uspùze, usfaar... la répétition de ùs n'est pas souhaitée<ref>Cependant, la préposition doit être préférée au verbe à préfixe lorsque le mot qui suit n'est pas déclinable (adverbe, notamment) :
- Da ùsgænă ed subpòçtev. = Il sortit de sa cachette.
Mais
- Or komit ùs dær. = Sortez de là.</ref>: Ka usfaara àt autostradev = Elle est sortie de l'autoroute.
Il apparaît aussi pour traduire DE... À (fràn) : Æt skop çem open fràn hoψev nov yn hoψ dek-nov = Cette boutique est ouverte de 9:00 à 19:00. Fràn appelle le circonstanciel et (d)yn (cf À), l'accusatif. À strægen pùze fràn àt hoxtàtynev hoψev 11:00 = Le train part de la gare à 11 heures.
- "À cause de" se traduit par sĕr :
Da uspùza nep sĕr àt lyshev. = Il n'est pas sorti à cause de la pluie.
- "Autour de" se traduit par ol.
Æt ere àt çhaad àt moonen qua ere kœṅdes ol ev. = C'était l'ombre de la lune qui jouait autour de moi. (F. d'É.)
- "Hors de" se traduit par l'adposition ùs :
- Ar • ùs àt olaréav. = Ils sont hors du périmètre.
- Ka mida das dav ùs. = Elle l'as mis hors de lui.
- "Loin de" sera traduit par ab en adposition et accompagnera un substantif au circonstanciel ( : ablatif)<ref>On peut trouver également l'adverbe telas</ref>:
- Er erer reen ab àt kostev. = Nous étions encore loin de la côte.
- Eg ab æt mensfœnev! = Loin de moi cette idée (je suis loin de cette idée) !
- "Pas de" se traduit par nep.
Depuis & pendant
Respectivement devèr & pavàr, accompagnent toujours un complément au circonstanciel, quelle que soit l'idée exprimée :
- Ka • dær devèr hoψev dekpent = elle est là depuis quinze heures.
- Eg waad devèr tern hoψeve = j'attends depuis trois heures.
- A lizhna pavàr quàt dawe! = il a plu pendant quatre jours !
Devant & derrière
Respectivement aṅtek & postek, obéissent aux mêmes règles que aṅt...
- Midit ase postek àt tœrs = Mets les derrière la porte.
- Sed xeliys ere aṅtek ev pavàr tern quàtax hoψeve = Sa voiture était devant moi pendant trois quarts d'heure.
En
- En temps que préposition, EN n'est généralement pas traduit non plus. Le mot qui devrait suivre derrière le verbe est
- à l'accusatif (idée de mouvement vers) E dhep faar Amérix = Je vais en Amérique.
- au génitif (idée de matière) Ùt box kùpren = une boîte en cuivre
- au circonstanciel (pour "dans" sans mouvement, ou temporel) Eg • kœnzheneve = je suis en vacances
Moyens de transport :
- E dhep retrofaar strægnev = je repars en train
- Ùt elàmyvet floxentev = un voyage en avion.
- Toutefois, pour l'expression de durée d'une action accomplie, on utilisera pavàr (cf ci-dessus)... en postposition. Ainsi, on ne devrait pas confondre :
- Da adlèrna spanens tiyn jàreve pavàr. = il a appris l'espagnol en deux ans (plutôt doué, le gars !)
- Da adlèrna spanens pavàr tiyn jàreve. = il a appris l'espagnol pendant deux ans (pas très persévérant, le gars !).
- Devant un verbe au gérondif, se traduit par las.
- Ka telefòne las traṅxun = Elle téléphone en conduisant.
Entre
Se traduit par inte ; cependant, le cas de déclinaison dépend étroitement du sens ou du rôle des mots dans la phrase.
- Comme sujet :
- Inte dek-nov ea tinek-quàt tœsaṅde enlèktordune dem caledar àr skrĕtkoṅtœreve = Entre dix-neuf et vingt-quatre mille électeurs se sont présentés aux bureaux de vote.
- Comme complément d'objet :
- A mir fal op inte trygs ea traṅxac = Il faudra choisir entre l'alcool et la conduite.
- Comme complément circonstanciel :
- Ù strad ere inte tiyn ordùlteve tændene = Il y avait une route entre deux rangées d'arbres.
Envers
Se traduit par la préposition araṅd. Précède un substantif à l'accusatif.
- Da hab ùt devec araṅd es = il a une dette envers moi.
Jusque
- Se traduit rikyp sans autre préposition, surtout si une postposition est utilisée :
- Da posgæna ob es rikyp es ad. = Il m'a suivie jusque chez moi.
- Rikyp hoogev àr bàlmene, ka • adbœtan... = Jusque z'en haut des cuisses, elle est bottée (S. Gainsbourg)
- "Jusqu'à" se traduit également par rikyp si ce qui suit derrière est un adverbe, un verbe (au participe) ou bien un complément circonstanciel de lieu (à l'accusatif) :
- Vydaw, e dhep rolen rikyp Bordoos = Aujourdh'hui, je roule jusqu'à Bordeaux.
- La aṁb vedjar nepjó rikyp sàrdaw<ref>sàrdaw est ici l'adverbe ; par contre, on mentionnera : rikyp aṅvic djensdavs<ref>. = jusqu'à mardi dernier</ref>.
- Ka kòma rikyp es. = Elle est venue jusqu'à moi.
- "Jusqu'à" se traduit rikyp yn (+ acc) si le complément qui suit est un complément circonstanciel de temps :
- E staṅun rikyp yn hoψ dexèg; post, eg dem dhep pùze. = Je reste jusqu'à quatre heures ; après, je m'en vais.
ou bien un verbe (au participe)
- Da ep auka rikyp yn requèdun ni kas ùt golàjnox. = Il a été jusqu'à lui demander une nuit d'amour.
Par
Se traduit toujour par per et accompagne systématiquement le circonstanciel, quelle que soit l'idée exprimée.
- Àt hoos çem klàstena per àt fiynxhokodatev = La maison a été détruite par la tempête.
- Eg dhep pas per àt sylew = Je passe par la forêt.
- Per eliskœw, a ere nep dær æt tempodev an = Par malchance, il n'était pas là à ce moment-là.
- Per Merkùrev! æt ùt rym sœm! = Par Mercure ! c'est une belle somme !
Pour
Il y a quatre utilisations possibles pour cette préposition
- Soit elle indique une attribution et elle se traduit par... pœr, le nom qui suit est à l'accusatif (datif) :
- O fàkta ep æc pœr es? = T'as fait ça pour moi ?
- Soit elle indique une destination et elle se traduit par dyn, le nom qui suit est aussi à l'accusatif :
- Eg pùze dyn àt nỳvs kœnadev augusten. = Je pars pour la neige fin août.
- Soit elle exprime une version, un avis mais, alors pœr précède le circonstanciel :
- Pœr ev, æt nep ùt kervœnt! = Pour moi (d'après moi), c'est pas un problème !
- Soit elle précède un verbe, dans une idée de but à atteindre et se traduit par ber, précédée du participe :
- Eg kollekta àqs lyshen ber lódanetun = J'ai collecté l'eau de pluie pour économiser.
- BER traduit également "pour" dans le sens de "à cause de", le complément est au circonstanciel.
- A çem chymon ber mordev = il est condamné pour meurtre.
Sans
Se traduit par sin. Même utilisation que nep devant un nom.
Un verbe situé derrière sin sera conjugué au participe.
- Da pùza sin diktun ù slovs. = Il est parti sans dire un mot.
On fera toutefois attention de ne pas "surcharger" la négation, comme ça se pratique en français avec "sans" :
- Da pùza sin diktun epùc = Il est parti sans rien dire.
- Ka verdera ùt erpèrf àt lùtharen sin adlèruna epèr àt solfaṅdes. = Elle est devenue une virtuose de la guitare sans jamais avoir appris le solfège.
Vers
Se traduit par ad en préposition. Le complément est toujours à l'accusatif ().
- Àt dak dem rixtes ad orse = L'homme se dirige vers vous.
- Àr impàlar ere ad àt logs. = Les impalas étaient vers le lac.
Le sens
Tout d'abord, ces mots ont un sens différent lorsqu'ils sont utilisés en tant que préposition (avant le complément) ou que postposition (après). En tant que préposition, il représente un sens CONCRET (sub àt mesev = sous la table) alors qu'en tant que postposition, son sens est plus approximatif (ùt mypak med pradhemve in = un colis dans mes bras : le colis n'est que porté par les bras, rien à voir, par exemple avec : ùt bùlet in àt pradhemev = une balle dans le bras), voir même carrément figuré (ùt grup ed ătoryndetev an sub = un groupe sous son autorité).
Certaines positions sont donc instinctives lorsqu'on veut faire des traductions
<poem>Il est entré dans mon cœur une part de bonheur dont je connais la cause</poem> (E Piaf : la vie en rose<ref>À comparer avec <poem>Çektep eg syvedj das, Siă eg at med kàrdes Qua taṁpe in ev
Dès que je l'aperçois, Alors je sens en moi Mon cœur qui bat.</poem></ref>)
<poem>Ùt pàrt lodhàrlyven
quan e kógste
àt sĕrec, inkòma
med kàreds in.</poem>
Selon le sens qu'on leur donne, le cas de délinaison du complément est, soit à l'accusatif, soit au circonstanciel soit au génitif (jamais au nominatif, même pour un complément d'agent).
Retour : Aneuvien
<references/>