ELK Étymologie
L'Elko est une langue a priori. Cela signifie que son vocabulaire ne provient pas directement d'une autre langue. Toutefois les racines qu'il emploie proviennent des mythologies et des croyances du monde entier par un procédé est appelé "morphogenèse".
Sommaire
La morphogenèse
La morphogenèse est le procédé qui permet de produire de nouvelles clés permettant ainsi de produire de nouvelles combinaisons. Aujourd’hui l’Elko fonctionne au moyen de près de 800 clés validées sur les 1012 combinaisons possibles. Cela signifie que plus de 200 clés n’ont toujours pas été attribuées. Cette attribution ne se fait pas au hasard et bien qu'il soit possible pour n'importe qui d’en proposer de nouvelles, il est important de respecter deux conditions : l'étymologie mythologique et la paronymie.
L'étymologie mythologique
La totalité des mots du vocabulaire elkan se forme au moyen de "clés", se sont des petites racines de trois lettres qui sont porteuses d'un concept générique qui ne prend son sens précis que lorsqu'il est introduit dans un mot.
Les clés utilisées en Elko
- Mythologie arménienne : RAM (vertu) vient de Aramazd dieu au mille vertu créateur du ciel et de la terre.
- Mythologie biblique : WOB (justice) vient de Job patriarche biblique représentant l'archétype du juste.
- Mythologie bretonne :
- Mythologie berbère :
- Mythologie celtique :
- Mythologie celtique irlandaise :
- Mythologie chinoise :
- Mythologie coréenne : DOK (obscurité) vient de Dokkaebi dieux obscures portant des sceptres.
- Mythologie estonienne : TUS (viol) vient de Tusslar dieu qui a tenter de violer Linda.
- Mythologie égyptienne : KET (naissance) vient de Selket déesse qui présidait aux naissances.
- Mythologie étrusque : KAR (méchanceté) vient de Charun ou Karun dieu infernl de l’enfer.
- Mythologie finlandaise :
- Mythologie guarani :
- Mythologie grecque : TEN (science) vient de Athena déesse de la science et de l’intelligence.
- Mythologie hurrite :
- Mythologie hindoue :
- Mythologie inuit :
- Mythologie iranienne :
- Mythologie japonaise : NAD (riz) vient de Kushi Inada déesse du riz.
- Mythologie juive :
- Mythologie Kabyle :
- Mythologie laponne :
- Mythologie lettonne : TIN (porte) vient de Martins dieu protecteur contre les voleurs et le froid.
- Mythologie māori : RAN (ciel) vient de Rangi dieu du ciel.
- Mythologie mésopotamienne : DAP (civilisation) vient de Adapa l’un des sept dieux civilisateurs.
- Mythologie nauruane : NAP (univers) vient de Areop-Enap araignée primordiale qui créa l’univers.
- Mythologie nordique : TOR (force) vient de Thor Dieu de la force.
- Mythologie ougaritique : WEL (dieu) vient de EL dieu suprême du panthéon ougaritique dont le nom signifie littéralement « dieu ».
- Mythologie précolombienne : LAZ (déchet) vient de Tlazoltleotl déesse des immondices.
- Mythologie romaine : DEM (champ) vient de Déméter déesse des champs et de l’agriculture.
- Mythologie russe : BAB (os) vient de Baba Iaga une sorcière si maigre que l'on ne voit que ses os.
- Mythologie slave : WOG (paradis) vient de Svarog dieu lumineux du ciel dans la mythologie slave.
La paronymie
Elko sont unies les unes aux autres par un rapport de sens ou de forme.
RAN (ciel) > REN (paix) > RES (guerre) > MES (mépris) > etc.
La paronymie fonctionne par le respect de quatre règles élémentaires, dans ces quatre cas deux lettres au moins doivent être conservées dans les deux clés ainsi comparées :
Représentation schématique d’une clé
C1V C2
Règle n°1
La palindromie. La ressemblance morphologique de deux clés se fait par palindromie. On obtient alors le schéma suivant :
C2 V C1
Règle n°2
La consonne de queue (C2). La ressemblance morphologique de deux clés se fait par l’avant. On obtient alors le schéma suivant :
C1 V *
Règle n°3 :
La consonne de tête (C1). La ressemblance morphologique de deux clés se fait par l’arrière. On obtient alors le schéma suivant :
- V C2
Règle n°4
La voyelle centrale. La ressemblance morphologique de deux clés se fait par les extrémités. On obtient alors le schéma suivant :
C1 * C2
Procédure de morphogenèse
- Première étape : la conceptualisation
- Deuxième étape : la vérification
- Troisième étape : l’étayage paradigmatique
Dans un premier temps il faudra consulter le dictionnaire étymologique. Il y faudra alors taper le mot clé dans le moteur de recherche et relever toutes les clés vierges (-) possédant le concept.
- Quatrième étape : l’attribution