IDEO ANV Pronoms : Différence entre versions

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m (M à J)
m (M à J)
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''Da'' et ''ka'' sont déclinables et s'accordent en nombre, au même titre que ''a'' :
 
''Da'' et ''ka'' sont déclinables et s'accordent en nombre, au même titre que ''a'' :
:''E golàjfakta kœm kas.'' = J'ai fait l'amour avec elle.
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:''E golàjdora kœm kas.'' = J'ai fait l'amour avec elle.
 
:''Dar dem chave ùt fætev per deaw.'' = Ils se rasent une fois par jour.</ref><ref>On fera toutefois attention à l'emploi de la troisième personne. À l'inverse de certaines langues ([[Image:Deutschefahne.jpg|15px]] [[Image:Bandespaola.jpg|15px]] [[Image:Magyarzl.jpg|15px]]...), [http://aphil.forumn.net/traductions-et-multimedia-f14/salutations-en-quatre-langues-t631.htm#8296 <font color=black>s'adresser directement à quelqu'un à la troisième personne</font>] est une marque de distance, de froideur, voire d'hostilité. Si en plus on s'adresse à la personne en donnant du ''a'' au lieu de ''da'' ou ''ka'', c'est un signe de mépris affiché :
 
:''Dar dem chave ùt fætev per deaw.'' = Ils se rasent une fois par jour.</ref><ref>On fera toutefois attention à l'emploi de la troisième personne. À l'inverse de certaines langues ([[Image:Deutschefahne.jpg|15px]] [[Image:Bandespaola.jpg|15px]] [[Image:Magyarzl.jpg|15px]]...), [http://aphil.forumn.net/traductions-et-multimedia-f14/salutations-en-quatre-langues-t631.htm#8296 <font color=black>s'adresser directement à quelqu'un à la troisième personne</font>] est une marque de distance, de froideur, voire d'hostilité. Si en plus on s'adresse à la personne en donnant du ''a'' au lieu de ''da'' ou ''ka'', c'est un signe de mépris affiché :
 
''A staṅt itùs: æt ùt pryvàt abnet!'' = Vous, là, restez dehors : c'est une soirée privée (il (neutre) reste dehors : c'est une soirée privée) !</ref>
 
''A staṅt itùs: æt ùt pryvàt abnet!'' = Vous, là, restez dehors : c'est une soirée privée (il (neutre) reste dehors : c'est une soirée privée) !</ref>
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:''Eg char nep ni ors'' = je ne vous mens pas (vvt à une seule personne)
 
:''Eg char nep ni ors'' = je ne vous mens pas (vvt à une seule personne)
 
:''Eg char nep ni ose'' = je ne vous mens pas (à plusieurs personnes)
 
:''Eg char nep ni ose'' = je ne vous mens pas (à plusieurs personnes)
:''Eg char nep ni orse'' = je ne vous mens pas (vvt à plusieurs personnes : (un peu) l'équivalent d''''ustedes''' ([[Image:Bandespaola.jpg|20px]]).
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:''Eg char nep ni orse'' = je ne vous mens pas (vvt à plusieurs personnes : (un peu) l'équivalent d''''ustedes''' [[Image:Bandespaola.jpg|20px]]).
  
 
Quand or traduit un vouvoiement singulier, le verbe est au singulier :
 
Quand or traduit un vouvoiement singulier, le verbe est au singulier :
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Il existe aussi un '''nous''' singulier, beaucoup moins courant...
 
Il existe aussi un '''nous''' singulier, beaucoup moins courant...
:''Er, Henri IV, rex Fraṅsen ea Nàvarren dik tep Paris val ep ùt mastes'' =
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:''Er, Henri IV, rex Fraṅsen ea Nàvarren dik tep Paris varde'p ùt mastes'' =
 
Nous, Henri IV, roi de France et de Navarre, disons que Paris vaut bien une messe.
 
Nous, Henri IV, roi de France et de Navarre, disons que Paris vaut bien une messe.
  
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:''<font color=blue>Ær</font> qua live saṅtrev staden'' = <font color=blue>ceux</font> qui vivent en centre ville
 
:''<font color=blue>Ær</font> qua live saṅtrev staden'' = <font color=blue>ceux</font> qui vivent en centre ville
 
: ''E gœnes <font color=blue>æċe</font> kaṅden'' = je prends <font color=blue>celles</font> du fond.
 
: ''E gœnes <font color=blue>æċe</font> kaṅden'' = je prends <font color=blue>celles</font> du fond.
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*Les gallicismes "ce qui, ce que" et "ce dont" :
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''Æt'' n'est quasiment jamais traduit et seul le pronom ''[[#Pronom_relatif|qua]]'' subsiste :
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:''Eg eċ <font color=green>quas aliyd ors iyr</font>'' = J'ignore ce <font color=green>qui vous amène ici</font>.
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Ce qui pourrait faire prendre cette <font color=green>proposition relative</font> pour une interrogation indirecte, comme dans :
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:''Eg eċ quadùs aliyd ors iyr'' = J'ignore qui vous amène ici.
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Par contre, "celui, celle qui" est effectivement traduit ''æt qaua''.
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:''Inest ær xeliyseve, eg mir op æċ qua hab ù todarblàjs'' = Parmi ces voitures, je choisirai celle qui a un toit ouvrant.
  
 
==Pronoms indéfinis==
 
==Pronoms indéfinis==

Version du 23 juin 2015 à 08:41

Les pronoms ont une différence avec les adjectifs qui leur correspondent, c'est que, comme ils sont censés être utilisés à la place de noms, ils en prennent les fonctions et, à ce titre, ils sont déclinables.

Les pronoms possessifs

Ils ressemblent aux adjectifs qui leur correspondent

Ted hræne biyne lungere qua meże = Tes haricots verts sont plus longs que les miens.

Pronoms personnels

Nominatif Acc./Dat. Génitif Circonst.
1re s eg<ref>E devant G, K, Q ou deux consonnes quelconques</ref> es en ev
2me s o os on ov
Vvt or ors orn orv
3me s a <ref name="ge">:A (neutre), da (♂), ka (♀). les deux derniers sont facultatifs et ne servent que pour lever une éventuelle ambigüité. On n'utilisera da(r) et ka(r) que pour des sujets (ou des compléments) dont on veut explicitement donner un renseignement sur le sexe ou bien se rapportant à des noms masculins ou féminins se terminant par -d(e), -dak(e), -k(-e), -kad(-e).

Exemples :

Eg vedja nep àt doktors: a ere graṅg = Je n'ai pas vu le docteur : il était malade. (C'est la première fois que j'allais le voir, je ne savais pas si c'était un homme ou une femme).
Eg vedja àt doktors, da gevna ùt mediklistes = J'ai vu le docteur, il m'a donné une ordonnance (là, j'ai bien vu qu'il s'agissait d'un homme, sinon j'aurais dit "elle m'a donné...", traduit par ka gevna).
Àt leod ere pos àt leokev, da ere posgæn kas = Le lion était derrière la lionne, il la suivait.
Eg ere nep vedj àt lobs: a ere rec telasert = Je ne voyais pas le loup : il était trop loin.
Àt nexàvkad ere ed skerdev en, ka ere inzh ùt àjs = La fillette était à ma gauche, elle mangeait une glace.

Da et ka sont déclinables et s'accordent en nombre, au même titre que a :

E golàjdora kœm kas. = J'ai fait l'amour avec elle.
Dar dem chave ùt fætev per deaw. = Ils se rasent une fois par jour.</ref><ref>On fera toutefois attention à l'emploi de la troisième personne. À l'inverse de certaines langues (Deutschefahne.jpg Bandespaola.jpg Magyarzl.jpg...), s'adresser directement à quelqu'un à la troisième personne est une marque de distance, de froideur, voire d'hostilité. Si en plus on s'adresse à la personne en donnant du a au lieu de da ou ka, c'est un signe de mépris affiché :

A staṅt itùs: æt ùt pryvàt abnet! = Vous, là, restez dehors : c'est une soirée privée (il (neutre) reste dehors : c'est une soirée privée) !</ref>

as an av
1re p er ese ene eve
2me p or ose one ove
Bandespaola.jpg Ustedes orse orne orve
3me p ar<ref name="ge"/> ase ane ave

Vouvoiement :

Eg char nep ni os = je ne te mens pas
Eg char nep ni ors = je ne vous mens pas (vvt à une seule personne)
Eg char nep ni ose = je ne vous mens pas (à plusieurs personnes)
Eg char nep ni orse = je ne vous mens pas (vvt à plusieurs personnes : (un peu) l'équivalent d'ustedes Bandespaola.jpg).

Quand or traduit un vouvoiement singulier, le verbe est au singulier :

Ep or audja es? = M'avez-vous entendu ? (à une personne)
Ep or audjar es? = M'avez-vous entendu ? (à plusieurs, vvt ou non)

Il existe aussi un nous singulier, beaucoup moins courant...

Er, Henri IV, rex Fraṅsen ea Nàvarren dik tep Paris varde'p ùt mastes =

Nous, Henri IV, roi de France et de Navarre, disons que Paris vaut bien une messe.

... mais dont certaines utilisations peuvent être inattendues :

Er, delégadu àt 8en B requèd at adnúlentyns omnàr kollektise saṅktynene cem iflígunar per àt profesorev X. X. = Nous, délégué de 4me B demandons l'annulation de toutes les punitions collectives infligées par le professeur X.X.

Et pour ce qui est des déclinaisions :

Or kredite ni es, aṅkthet or krede nep ev. = Croyez-moi, même si vous ne croyez pas en moi.


Impersonnel

Le pronom impersonnel français "il" peut être traduit de plusieurs manières différentes. Tout dépend de ce qui suit le verbe :

A nỳven = Il neige.
A Lyzhen devèr sàrdaw = Il pleut depuis hier.
A • pylas = Il est tard.
A dor kold = Il fait froid.

Mais...

Fiynen dor = Il fait du vent (du vent fait)<ref>À comparer avec A fiynen = Il vente.</ref>.
Kodhumen nỳven = Il neige du coton (du coton neige)<ref>Se dit quand il neige à très gros focons</ref>.
Hoψ ok ep = Il est huit heures (heure huit est).
Ùt fæt ere... = Il était une fois... (une fois était...).
Dem paṅklun per à xeltœrev keferton = Il est dangereux de se pencher par la portière (se penchant par la portière (est) dangereux).
Ùt miklósat mus ted harléav = Il manque un bouton à ta chemise (un bouton manque...).

Indirect

Représente une combinaison des adjectifs possessifs et de l'adjectif personnel indirect, adapté au pronom :

Ed kœṅzhere en lungere qua eż an = mes vacances sont plus longues que les siennes.
Eg kógste ed neràpdax an, ka kógste eż en. = Je connais son fils, elle connaît le mien.

Pronom démonstratif

Ressemble à l'adjectif, la déclinaison en plus : Æt harléa en rylnert do æt on minus spændirner. = Cette chemise-ci est très belle, mais celle-là est moins chère.

Er retrokòmite dyn ær òvse en = Revenons à nos moutons.
Ær qua live saṅtrev staden = ceux qui vivent en centre ville
E gœnes æċe kaṅden = je prends celles du fond.
  • Les gallicismes "ce qui, ce que" et "ce dont" :

Æt n'est quasiment jamais traduit et seul le pronom qua subsiste :

Eg eċ quas aliyd ors iyr = J'ignore ce qui vous amène ici.

Ce qui pourrait faire prendre cette proposition relative pour une interrogation indirecte, comme dans :

Eg eċ quadùs aliyd ors iyr = J'ignore qui vous amène ici.

Par contre, "celui, celle qui" est effectivement traduit æt qaua.

Inest ær xeliyseve, eg mir op æċ qua hab ù todarblàjs = Parmi ces voitures, je choisirai celle qui a un toit ouvrant.

Pronoms indéfinis

idem<ref>MÊME

On ne confondra pas

àt idem nox = la même nuit, avec

æt nox(ev) iψ = cette nuit-même.
Les ompléments de idem se déclinent avec l'accusatif, derrière la préposition QUA, comme les compléments de comparatifs d'adjectifs qualificatifs et d'adverbes :

E dhep gœnes àt idems qua æc en do rhod = Je prends la même que celle-ci, mais en rose.</ref>
le (la) même numbar plusieurs ùdat au moins un
la<ref>ON, a été reversé, dans la grammaire française, dans les pronoms personnels pour des raisons pratiques, et notamment pour le distinguer de A (lire plus loin), il figure, ici, avec les indéfinis :

LA devant un verbe au singulier est un pronom indéfini

La lokùt anoevens = On parle aneuvien.

Peut être utilisé de manière ironique (plaisante) pour "tu" ou "vous" :

La nep rec renearanert? = On est pas trop fatigué ?

Dans ce cas, on utilisera bien LA et surtout pas A. Ce dernier est nettement irrévérencieux, voire insultant (lire, dans cette page de l'Atelier, le deuxième renvoi). Devant un verbe au pluriel, il est mis pour "nous"

La loot cenar = on a bien diné.</ref>
on alj, aljùt, alidù autre dam certain
æq<ref>CHAQUE

Le pronom pouvant être aussi bien æq : tiyn euror æquev = deux euros chaque
que æqdu ou æqut :

Ùt paar chyfene ni æqdus ea omen • sadef! = Une paire de gifles à chacun et tout le monde est content !</ref>
chaque (-cun) tàn tel epdù, okendù<ref name="qq">QUELQU'UN, QUELQUE CHOSE
Si ces déterminants sont bien des mots à priori, la règle grammaticale qui régit le choix d'un ou l'autre d'entre eux est, elle, à postériori puisqu'ils sont les traductions respectives de someone & anyone; something & anything:
Epùc o vedja? = As-tu vu quelque chose ?
Eg vedja okendùs dem uskèψun per dæn. = J'ai vu quelqu'un s'enfuir par là.
Les termes négatifs correspondants sont nepdù & nepùt.</ref>
quelqu'un
Omen, -ne<ref>TOUT

OMEN & OMNE commençant par des voyelles :

Omen rovœrs es. = Tout m'ennuie.
Omne rovœrse es. = Tous m'ennuient.</ref>
tout, tous ċys en epùt, okenùt<ref name="qq"/> quelque chose

On retrouve des adjectifs, tels que alj, idem, tàn... avec quelques mots en plus, comme la<ref>... dont la déclinaison peut le faire traduire en "autrui", au même titre que alidù</ref>, cys<ref>Ne se décline pas au nominatif : ċys, ċyn, ċyv, signifie "en" & "y" traduit en "autrui", au même titre que alidùs.

Eg mir dysert cyn ed posvic operknegev in = J'en parlerai dans mon prochain ouvrage.</ref>. Ces mots, pas toujours variables en nombre, se déclinent néanmoins.
Tàn ridun vrjesdaw mir zhiym sœndaw. = Tel qui rit (riant) vendredi pleurera dimanche.
Eg nep tàrd, kes ùt damdák kaṅt, tep ka er àt mirkomat àt daken = Je ne suis pas bien sûr, comme chante un certain (un certain chante), qu'elle soit l'avenir de l'homme (J. Brel).
E gœnes amals ni ċys = J'en prends soin.
— Or dœmit ni las
— Eg dœm ni ċys
— Pensez à autrui.
— J'y pense.
Gœnest ùdaċ = Prenez-en au moins un.
Ed segax adpòcduve, ùdat cem mir eradráṅd. = Sur nos six candidats, au moins un sera reçu.

Pronoms relatifs

À ne pas confondre avec les pronoms personnels indirects, les pronoms relatifs introduisent une proposition subordonnée relative. Il en existe deux en aneuvien, lesquels se déclinent et offrent par conséquent la traduction de la plupart des pronoms relatifs étrangers.

Nominatif Acc./Dat. Génitif Circonst.
Avataneuf.gif qua quas, ni quas quan quav
Frenchflag.jpg qui que, à quoi dont, de quoi
Avataneuf.gif quat(e) ni quac(e) quaten(e) (in) quatev(e)
Frenchflag.jpg<ref name="gnr">Les termes aneuviens traduisent aussi laquelle, lesquelles etc. À ce titre on peut lire cette page sur le genre non marqué en français.</ref> le(s)quel(s) au(x)quel(s) duquel desquels (dans) le(s)quel(s)
àt ant quan eg dyserta ni os... = la chose dont je t'ai parlé...
À taṅk in quatev o ażàca àt àqs cem ere prken. = Le réservoir dans lequel tu as versé l'eau était percé.

Ces traductions ne sont pas systématiques, exemple :

Àt boftedak ni quav<ref>"Qui" a été, ici, traduit par quav, à cause de la particularité de certains COI, notamment parmi ceux de verbes comme kov (provenance)</ref>o kova à svart kàrnan cem pernda. = Ce boucher à qui tu avais acheté de la viande noire a été arrêté.


Pronoms interrogatifs

Introduisent une proposition subordonnée ou bien une phrase interrogative, leur ressemblance avec les pronoms relatifs, en aneuvien pourrait les faire confondre. Toutefois, en plus de la proximité d'un verbe (pour les propositions subordonnée) et de la différence de traduction de "qui", on peut arriver à les départager. Pour "quoi ?" et "lequel ?", c'est un peu plus dur.

Àt dak qua koma dem naamen Akirons. = L'homme qui est venu s'appelle Akirons.
E kred stun quadù koma. = Je crois savoir qui est venu.
E sta quadùs o vedja. = Je sais qui tu as vu.
Qua dor ù tan hrupiż? = Qu'est-ce qui fait un tel bruit ?
Æt • àt akolvádeb qua dor æt hrupiż. = C'est le réfrigérateur qui fait ce bruit.
O ste ep quac or gœnes? = Vous savez lequel<ref name="gnr"/>vous prenez ?



<references/>