Aneuf : Différence entre versions
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:Superficie : environ 925000 km² (y compris l'archipel de Lakùr et l'Île de Lożhnika) | :Superficie : environ 925000 km² (y compris l'archipel de Lakùr et l'Île de Lożhnika) |
Version du 25 avril 2022 à 13:00
Sommaire
Introduction
L'Aneuf, en tant qu'idée, est né au début des années '70 ; le concepteur de l'aneuvien désirant associer un pays à cette toute nouvelle (à l'époque) langue. Comme il y avait un grand nombre de racines européennes, une situation en Europe centrale fut un temps envisagée (du côté de l'Autriche, l'Italie, la Slovénie, la Croatie<ref>Ces deux pays étaient, à l'époque, des républiques fédérées de Yougoslavie.</ref>et la Hongrie). Mais ça posait un problème : il y avait déjà du monde. Alors l'Aneuf prit place sur une île, grande grosso modo comme la France, en plein océan Pacifique, là où, dans le monde réel, il n'y a que l'océan : à environ 2000 milles marins environ à l'ouest des côtes chiliennes et à 40° sud. Ce pays aurait en plus une île à 400 nautiques au sud-est et un archipel à un peu plus de 700 nautiques au nord. L'aneuvien y serait la langue officielle, voisinant avec trois langues minoritaires. Deux d'entre elles figurent dans la présente encyclopédie.
- Superficie : environ 925000 km² (y compris l'archipel de Lakùr et l'Île de Lożhnika)
- Point culminant : Kag Alor (Mt Alor) : 4108m (Aloryne, Malyr)
- Cours d'eau principaux : Skovaan, Elpàtt, Taan, Alond, Hatua.
- Population ≈ 27 Mhab.
- Capitale fédérale : Kesna, 28 kHab
- Monnaie nationale : le vir (100 ljàre)
- Fuseau horaire : UTC-6:30
Provinces :
- Alfazie (sud-ouest), cap : Sanpaz (212 kHab) ; Sorne (148 kHab)
- Æstmor (nord-ouest), cap : Nælvyn (244 kHab) ; Træz (144 kHab), Akæl (67 kHab)
- Kanolthe (nord), cap : Malbœrg (282 kHab) ; Birem (94 kHab)
- Lakùr (à 700 mn au nord), cap : Lakib (58 kHab) ; Haverstad (39 khab), Lakorn (27 kHab)<ref>Cette province n'est autonome que depuis juin dernier ; auparavant, c'était une région malyroise.</ref>
- Malyr (nord-est), cap : Sfaaraies (424 kHab) ; Laṅrúke (217 khab), Lenow (132 kHab)
- Пanda (sud-est), cap : Sordalkÿ (261 khab) ; Donđke (147 kHab), Koddarka-Ruӄa (103 kHab)<ref>Province à statut particulier depuis Octobre 1972.</ref>
- Roenyls (nord-nord-ouest), cap : Nakol (472 kHab) ; Nevwarkling (151 kHab), Seblir (137 kHab)
- Santes (sud), cap : Hocklenge (679 kHab) ; Nevstad (49 kHab), Sense (41 kHab)
Histoire
Origines
L'Île d'A était occupée par plusieurs ethnies (Ŧupƀ, Ptahx, Akrig) avant l'arrivée des Européens. Ces derniers étaient davantage des victimes des persécutions religieuses dans leurs pays d'origine (Huguenots de France, catholiques britanniques, juifs d'Espagne, etc...) que des missionnaires et conquérants envoyés par leurs gouvernements respectifs. Cependant, ces derniers n'allaient pas tarder à s'intéresser à l'île. Toutefois, un compromis (dénoncé par la suite) fut trouvé entre les autochtones et les nouveaux arrivants.
Six États, puis sept, furent alors constitués, vivant tout d'abord en autarcie et sans vraiment de lien entre eux sinon la volonté d'une minorité de créer un sorte de communauté basée sur un moyen de compréhension. Plutôt que d'imposer une langue (l'anglais, l'espagnol ou le français), il fut choisi de créer une langue communautaire issu non seulement des langues européennes sus-citées (ainsi que d'autres, comme des langues germaniques ou slaves), mais aussi des langues locales. L'aneuvien était né. Tout d'abord parlé par une poignée de personnes, son influence s'étendit par delà les frontières, et en 1677, il devint la langue officielle du royaume du Roenyls. Le 25 septembre 1785 naissait le royaume d'Aneuf.
L'ancien régime
L'ancien régime (monarchie) fut relativement stable tant que les monarques en questions furent relativement éclairés. Le premier de la série, le roi Akirons (ancien roi du Roenyls) fut d'ailleurs assez brillant et fut succédé par sa fille Anoevia (il semblerait qu'elle fût à l'origine du nom du pays) en 1820. En 1840 lui succéda son fils ainé, Owyd sous lequel apparut et se développa le réseau ferroviaire. Vingt ans plus tard, Hæktor accorda à la population la plus modeste de l'Aneuf des acquis inespérés, comme par exemple l'élection des députés au suffrage universel<ref>Masculin : le suffrage mixte fut une des conquêtes de la République ; une fois que les élections, abolies par Deskerrem, furent rétablies.</ref> (au lieu du suffrage censitaire). Cependant, ses réformes avancées (pourtant approuvées par la Chambre Populaire, instituée par le roi Akirons) déplurent à certains nobles jaloux de leurs privilèges et il fut remplacé (au sens définitif du terme) par le duc du Pelliant (région d'Hocklènge) Zhil Kàrl Deskerrem ; lequel, en 1890, s'installa à Nakol, dissolut la Chambre (non sans avoir fait exécuter un certain nombre de députés !) et commença, avec l'appui de sa police personnelle, à confondre, à son profit, le trésor du Royaume avec sa fortune privée. Ce régime suscita la réprobation générale, au point que les Républicains, qui n'étaient qu'une poignée auparavant, virent leurs rangs grossir à une allure exponentielle, secondés par les Socialistes... Ces deux formations, ainsi qu'un certain nombre de monarchistes modérés (un nombre non négligeable de barons, quelques comtes et un marquis) renversèrent le gouvernement tyrannique et la république fut proclamée le 28 décembre 1892.
La première république
Comme beaucoup de régimes issus d'une révolution, la république aneuvienne fut certes, quelque peu brouillonne mais grande porteuse d'espoirs. Toutefois, la bourgeoisie fut la grande gagnante de ce régime et les classes sociales les plus actives n'étaient pas, et de loin, les mieux rétribuées. Ce qui provoqua l'émergence, à gauche du parti socialiste, de nouvelles formations. Tout d'abord, en, 1896, le parti socialiste révolutionnaire, qui se scinda en trois trente-neuf ans plus tard, en 1935. La partie la moins radicale rejoignit le parti socialiste, quant aux deux autres, elles formèrent le parti communiste et le parti anarchiste. Probablement à cause de la crise de 1929 (le continent américain n'est pas si éloigné que ça), la décennie '30 n'était pas très clémente en Aneuf, malgré de grandes réalisations (la nouvelle gare de Nakol, l'opération Skovaan-Alkages (Skovaan-amont : réseaux de centrales hydroélectriques)...) et des nostalgiques de Deskerrem semaient des troubles ça et là. Toutefois, là ne fut pas le réel danger. Un dissident du parti Républicain était en train de monter à toute vitesse avec un programme alléchant, plein de solutions simples contre les agitations, contre le chômage... Un programme qui devait porter l'Aneuf vers les sommets.
Les années noires
Le problème, c'est que ces "solutions", il était allé les puiser en Europe : à Rome, Berlin, Budapest... Il appliqua la première partie de son programme "populaire" et, comme il se rendit compte que les résultats tardaient à venir, il en vint assez rapidement aux suivantes : arrestations, internements des "ennemis du peuple", politique raciale... bref, toute la panoplie d'un régime fasciste. Si Allan Hakrel fut élu en 1935 sur une base démocratique, cette base n'allait pas rester longtemps. Mais à force d'"exclure du peuple" des pans de plus en plus larges de la population aneuvienne, il allait se faire de plus en plus d'ennemis. Sa police politique (malgré les moyens énormes dont elle disposait) allait bientôt être submergée. Le Parti National du Peuple, après l'embellie des premières années commençait à se morceler. Il afficha ses alliances de plus en plus clairement, mais ses alliés étaient loin géographiquement et eux aussi, commençaient à rencontrer quelques difficultés (1943). Il tenta alors (comme Horthy) un changement de cap, mais fut court-circuité par encore plus extrêmiste que lui. Et il eut encore moins de chance que son homologue hongrois, puisqu'il fut assassiné par des officiers de sa propre police. Son successur, Fraṅk Ruz, responsable de la terreur, n'hésita pas à demander un coup de main à l'aviation nopponne pour raser le Sarimat (Sfaaraies, siège du gouvernement rebelle, et sa région) et à accueillir un certain nombre de nazis ayant fui l'Europe. On était en Juin 1945. Le nazisme était écrasé en Europe, mais il fallut encore quatre mois (et des pertes significatives) aux Aneuviens pour en venir à bout. Ces derniers avaient espérés, en vain, une aide de l'Oncle Sam, lequel était tout d'abord occupé à vaincre les armées impériales nipponnes, ensuite, à préparer la guerre froide. Le 9 Juillet, Hocklènge fut libérée et le 17 octobre, les derniers représentants de la dictature furent arrêtés ou prirent la fuite. Cette date devint un jour férié au même titre que le 28 décembre.
La liberté retrouvé et la deuxième république
Après la libération du pays, un gouvernement d'union nationale fut constitué, en attendant d'une part les élections fédérales (le statut de république fédérale fut choisi : en fait par certains aspects, l'Aneuf ressemblait davantage à une confédération). Les trente glorieuses auraient pu se passer dans le calme sans quelques troubles, ça (Pande) et là (Alfazie). De changements de majorité (aussi bien au niveau fédéral qu'au niveau des provinces) en déménagements (changement de capitale fédérale), l'Aneuf traversa le demi-siècle précédent sans que les événements dans le reste du monde (notamment l'écroulement de la sphère dite "communiste") n'altérassent son paysage politique outre mesure.
L'Aneuf aujourd'hui
Le XXIe siècle
Le premier événement notable a été, bien sûr, l'indépendance de l'Archipel de Lakùr par rapport à la province du Malyr et son accession au titre de province fédérée. C'est la plus petite province de la République aneuvienne (les terres émergées représentent à peu près la superficie de la Lorraine) et la moins peuplée (un peu moins de 100 kHab). La crise mondiale semble avoir affecté certains secteurs économiques aneuviens, mais le pays tient le coup, grâce notamment à l'esprit de solidarité de ses habitants, quelques soient leurs différences ethniques, religieuses ou politiques.
Un État fédéral
La République aneuvienne est une république fédérale, en ce sens que chaque province qui la compose a ses institutions et son gouvernement. Toutefois, les autorités fédérales ont un certain pouvoir, notamment pour aplanir quelque différend pouvant survenir entre deux provinces ou bien pour gérer des institutions à l'échelle du pays tout entier comme l'énergie, les communications (téléphone, postes), la police fédérale, les chemins de fer ou l'armée (y compris la gendarmerie<ref>Toutefois, la Pande, en tant que province autonome, a son propre corps de gendarmerie</ref>). Sinon, en plus du gouvernement et de l'État fédéral, chaque province a son gouvernement, élu par le parlement provincial, lui-même élu au suffrage universel. La police provinciale, l'Éducation, la Santé, la Justice (hormis la cour de Cassation, sise à Sfaaraies), les transports intérieurs, la radio, la télévision (y compris les relations avec les chaînes privées) et la collecte des impôts sont du ressort de la province<ref>Chaque ministère du budget verse ensuite un impôt à son équivalent fédéral.</ref>. Les provinces ayant beaucoup de pouvoir, il ne faut pas croire que les charges qui leur soit dévolues soient d'importance mineure. Chaque province est ensuite divisé en plusieurs régions, voire même, en comtés (distrit) pour certaines d'entre elles. Le pouvoir d'une région varie d'une province à l'autre, chacune d'entre elle ayant un statut différent. Ainsi, la sante du Nopral (Santes) a-t-elle beaucoup moins de pouvoir que le Nopral (région malyroise limitrophe, située au nord). Seules les élections présidentielles<ref>Ce, depuis peu de temps : auparavant, le président était élu par les deux chambres : le Sénat et l'assemblée fédérale.</ref> et les élections législatives fédérales font voter tous les Aneuviens en même temps. Pour les autres élections (provinciales, régionales, de district et municipales, ainsi que les élections professionnelles (Sécurité sociale, Prud'hommes), c'est le ministère des affaires civiques (Intérieur) ou celui du Travail qui a la charge de trouver une date en accord avec différentes institutions (partis, associations, syndicats, autorités religieuses...). La vie civique est très développée en Aneuf et il n'est pas de bon ton de ne pas être inscrit sur les listes électorales ou de ne pas aller voter. Le citoyen aneuvien pourra exprimer sa désapprobation de la classe politique en déposant un nekflíos (feuille négative, autrement dit : bulletin blanc) dans l'urne. Une trop grande proportion de nekflíone et le scrutin est invalide : les politiciens détestent ça ! Le bulletin de vote est pour les Aneuviens un instrument de liberté de choix. Les deux Chambres fédérales sont l'Assemblée fédérale, élue au suffrage universel, et le Sénat, qui lui est élu par les conseillers provinciaux, eux-mêmes élus par les conseils de district. Ces deux chambres entérinent l'équipe (ou y opposent un véto) gouvernementale proposée par le premier ministre fédéral. Elles approuvent ou non l'élection des directeurs généraux des grandes entreprises publiques (ANB, Anoelek, Anopost...) élus par leurs comités d'entreprise respectifs. L'approbation du choix des Ministres d'État (Commerce international, Défense, Diplomatie) par le Président de la République n'est que du ressort de l'Assemblée fédérale. En cas de désaccord, le conseil constitutionnel, constitué d'anciens députés ou sénateurs ayant fait au moins trois mandats pleins sans ne jamais avoir été battus<ref>un mandat électoral = 4 ans</ref>, tranchera. Pour les désaccords concernant l'élection des directeurs d'entreprises publiques, le verdict (désaccord retenu ou rejeté) est du ressort d'un conseil de sages représentant, entre autres, les associations de consommateurs). Si, pour l'un de ces cas cités plus haut, le désaccord est retenu, on recommence (le président ou le premier ministre choisi un autre ministre ou même une autre équipe ; ou le comité d'entreprise élit un autre directeur) ; sinon, les personnes choisies restent en place. L'assemblée fédérale ne peut être dissoute qu'une seule fois par le Président. Le premier Ministre ne peut dissoudre ni l'Assemblée fédérale, ni l'assemblée de la Pande. Pour les autres assemblées provinciales, il ne peut le faire que dans des cas extrêmes prévus par la Constitution. Le Sénat ne peut être dissous que par le Conseil constitutionnel.
L'État civil aneuvien
Depuis la révolution de 1892, l'égalité des sexes est ancrée dans l'état civil aneuvien. Ainsi y nait-on avec deux noms d'origine : celui du père et de la mère (ou de la mère et du père : lire la suite). Ainsi, pourra-t-on avoir : Akirons KAṄTALEM Firans ; né de Zhorzh KAṄTALEM Kotal<ref name="no">Noms d'origine de chacun, AVANT leur mariage</ref> et d'Elvira Firans KAṄTALEM ; mais aussi Çharlæn IMIKÉRI Ryçhoot, né d'Aakon Ryçhoot IMIKÉRI et de Sylvæt IMIKÉRI Lodynd<ref name="no"/>. À sa majorioté, chacun de ces deux aneuviens peut garder ses deux noms parentaux (le terme patronymique n'est pas employé, on s'en doute) dans le même ordre : nom courant en majuscule, nom de l'autre parent en bas de casse ; ou bien changer. Mettons que ce soit le cas d'Akirons, qui choisisse le nom de sa mère. Il va donc à la mairie et fait donc les démarches nécessaires et son nouvel état civil devient : Akirons FIRANS Kaṅtalem.
Mariage
À supposer maintenant que ces deux individus se rencontrent et finissent par se plaire suffisamment pour convoler. Il devront choisir, d'un commun accord du nouveau nom courant du couple :celui de l'époux ou bien de l'épouse (s'ils n'arrivent pas à se mettre d'accord pour un simple nom, autant qu'ils évitent de se marier). On a alors deux possibilités :
- Le nom de l'époux est adopté :
Akirons FIRANS Kaṅtalem devient alors Akirons FIRANS Imikéri Çharlæn IMIKÉRI Ryçhoot devient donc Çharlæn FIRANS Imikéri
- Le nom de l'épouse est adopté :
Akirons FIRANS Kaṅtalem devient alors Akirons IMIKÉRI Firans Çharlæn IMIKÉRI Ryçhoot devient Çharlæn IMIKÉRI Firans.
Toutefois, un ressortissant étranger, quel que soit son sexe & sa nationalité aura intérêt, s'il veut s'intégrer à la vie civile aneuvienne, en gage de sa volonté de s'intégrer, à choisir le nom de son conjoint comme nom courant. Ainsi, Richard K BAILEY, Californien de son état, s'appellera désormais Richard GANTERALA Bailey s'il se marie avec Suzaan GANTERALA Nyboot, laquelle deviendra Suzaan GANTERALA Bailey<ref name="étr">Toutefois, les noms étrangers n'ayant pas une écriture latine seront aneuvisés</ref>.
La règle s'applique exactement de la même manière pour les mariages homosexuels (reconnus depuis les années '80 aux Santes, les années '90 ailleurs, sauf en Pande où ils ne sont reconnus (avec difficulté) que depuis 2004) puisque l'adoption du nom conjugal est le résultat d'un accord et non pas d'une prétendue prédominance sexuelle. La même règle s'applique également pour les étrangers<ref name="étr"/>. Ainsi Silvano GALAZZI deviendra-t-il Silvano KORTŒN Galazzi s'il épouse Leo KORTŒN Suboot, ce dernier s'appelant désormais Leo KORTŒN Galazzi.
En cas de divorce
En cas de divorce par consentement mutuel (les plus courants), chacun des deux ex-conjoints peut, soit garder son nom conjugal, soit reprendre son nom d'origine.
Si le divorce est difficile (accusation, procès...) la personne qui a GAGNÉ le procès (et qui n'est pas NÉCÉSSAIREMENT celle qui a DEMANDÉ le divorce) peut exiger que l'ex-conjoint se défasse de son nom conjugal. Si tel est le cas, il devra en faire autant de son côté.
En cas de remariage
Si on a à faire à deux divorcés chacun de leur côté, la règle ci-dessus (voir : mariage) est de mise : les deux futurs conjoints doivent s'entendre. Si l'un des deux en est à son premier mariage, cependant, il peut avoir une certaine priorité sur le nom courant. Mais là aussi, en cas de désaccord, autant éviter une décision regrettable.
Enfant naturel
La règle s'applique de la même manière qu'au début du sujet, à savoir qu'il prend le nom de la mère et du père, dans cet ordre. Si toutefois, il y a un refus de reconnaissance paternelle, les deux noms maternels seront mentionnés.
À mon (ma) cher(e) disparu(e)
Le (la) veuf(ve) ne change pas de nom jusqu'à son remariage<ref>Si le veuvage est volontaire, son (sa) responsable risque bien de ne plus avoir l'autorisation de se remarier. Le verdict peut également lui imposer de porter le nom de sa victime, comme une croix, jusqu'à sa propre disparition.</ref>
Quelques noms
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Quelques prénoms
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L'économie aneuvienne
Les transports<ref>Des articles, actuellement sur le site de l'Atelier viendront bientôt ici.</ref>
- La route
- Les voies navigables (mer + navigation fluviale)
- La navigation aérienne
- Le rail
La société aneuvienne
Comme dans tout État démocratique, il existe diverses organisations politiques, syndicales & associatives, non seulement indépendantes du pouvoir en place (que ce soit au niveau fédéral, mais également dans différentes provinces), mais qui peuvent, en cas de nécessité, exercer un certain contre-pouvoir, ce sont les partis et mouvement politiques, les organisations syndicales et les associations.
La Justice
À l'exception de la Cour de cassation et de la Cour fédérale, qui siègent à Sfaaraies, la Justice est une institution propre à chaque province, chargée de raire respecter les lois de celle-ci. La Cour fédérale ne réglant que d'éventuels litiges entre les provinces et la Cour de cassation invalidant, ou non, une décision de justice rendue dans une province donnée.
Les cultes
Malgré certaines vicissitudes de l'histoire, un grand nombre de cultes sont présents en Aneuf, même si les athées et les agnostiques représentent presque la moitié de la population. Pour les autres, en plus des trois principaux cultes monothéïstyes mondiaux, cohabitent un assez grand nombre de cultes, tant locaux que venus de diverses parties du monde (fuites devant diverses persécutions). Certains cultes ont une audience relativement importante (les Chrétiens, toutes tendances confondues, représentent environ 27% de la population du pays) ; d'autres, nettement moins marquée (l'islam chiite rassemble à peine 1% des individus vivant en Aneuf) et enfin, certains ne représentent à peine une centaine de personnes, voire moins (Mythes gréco-latins, américains précolombiens, lucifériens<ref>On tâchera de faire la distinction entre les élucubrations de certains individus utilisant l'Ange Déchu comme alibi à des rites basés sur le sadisme, l'avilissement voire le massacre de leurs victimes, et qui ne sont en aucun cas reconnus comme un véritable culte (crimes en réunion), et le culte basé sur la concurrence entre Dieu (quel qu'il soit) et son antithèse. Ces lucifériens-là ne croyant pas nécessairement que Dieu représente le Bien, au vu des massacres qui on été commis en son nom, n'iront donc pas, par conséquent, se diriger vers le Mal (que ce soit par conviction ou par volupté). Bref, en Aneuf, le Grand Débat n'est pas clos !</ref> etc.).
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